[RP] - Gloire de la Grèce

Carte :


Nouvelles :

- Pergame, soutenue par les ressources de l'empire Perse a annexé de grand pans de terres alentours d'Anatolie.
- De nombreuses cités se sont étendues.
- Corinthe et Athènes ont toutes les deux tenté de s'emparer de l'isthme dans son intégralité, provoquant des troubles, voire même des escarmouches entre les deux armées.
- Rhodes a débarqué sur l'île de Crête.
- Pella a mis au point une phalange royale tout à fait spéciale.
- La plupart des cités ont stabilisé leur situation.

Rumeurs :

- Des assassins corinthiens auraient tenté d'entrer en force dans Apollonie.
- Aucune cité n'est sure, des oreilles malavisées trainent partout.
- Quendri serait de retour !
- Des pirates roderaient non loin d'Athènes, arborant les couleurs de la ligue Egéenne.

Carte :


Nouvelles :
- La plupart des factions lancent de grandes campagnes d'expansion territoriales.
- Le roi de Sparte Limpzis Ier lance de grands travaux afin de satisfaire son peuple.
- L'isthme de Corinthe se fortifie, Athènes a bâtit une enceinte fortifiée afin de prévenir les incursions ennemies.
- Delphes accueille d'étranges dignitaires à sa cour. Mais impossible d'en savoir plus.
- Corinthe fortifie les deux ports de Lechée et Cenchrée et les remet en état afin de relancer le commerce de l'isthme.
- De grandes réformes administratives ont lieu à Elis, le roi sépare les pouvoirs.
- Argos est une cité ou il fait bon vivre. Des camps militaires voient le jour et renforcent l'armée Argienne.
- Cnossos se lance à corps perdu dans une guerre contre Rhodes, soutenu par Oaxos et Cydonia.
- Vague de recrutements à Epidamne.
- Dodon annexe de grandes portions de territoire dans sa périphérie, révélant son potentiel militaire au monde.
- Lemnos est entrée en guerre contre Pella de façon assez compliquée, mais cette guerre est bien réelle et les batailles sont meurtrières !
- Lesbos est en émoi, son roi a évité une annihilation et a étendu le territoire Lesbien aux Cylclades, le peuple est fanatisé, cette popularité l'aide a aveugler le monde sur ses dettes abyssales.
- Halicarnasse unit les terres rebelles alentours et augmente les impôts.
- L'ile de Rhodes se fortifie, la cité est en guerre contre Cnossos, Oaxos et Cydonia. Elle parvient cependant à annexer quelques iles au nord.
- Pella lance une campagne vers l'est et se retrouve en guerre contre Lemnos. Les premières prises macédoniennes sur les cités libres se sont soldés par des bains de sang, des viols en masse et des meurtres d'enfants, poussant ainsi les cités qui ne voulait pas subir ce même sort à rejoindre le territoire macédonien.
- Heraclée semble être le dernier rempart contre l'expansion Pergamienne.
- Pergame est en guerre contre Troie, en outre, la flotte de Cnossos venue demander des renforts a été abordée et capturée par les fameux renforts. Pergame devient ainsi la plus grande puissance maritime et Cnossos un trahi de plus dans l'histoire du monde.
- Le roi d'Ephèse mène l'invasion des iles proches de ses cotes à la tête de ses armées. Cette position dangereuse lui assure un soutien du peuple qui aime les héros.
- Le roi de Chios se populise en se rapprochant des basses couches de la société. Les aristocrates ne sont pas tellement ravis de ce changement de politique.

Guerres :

Lemnos contre Pella :
- Les troupes Lemnosiennes et Macédoniennes se sont réunies pacifiquement sur Lemnos dans un but incertain. Mais le ton monte vite entre les deux armées, visiblement les stratèges avaient pour ordres de trahir l'autre armée. Les soldats s'échauffent et finalement les deux armées se rassemblent pour se mettre en ordre de bataille. Les troupes Lemnosienne, défendant leur ile et rejointes par la garnison de l'ile sont au nombre estimé de 6000 archers et hoplites. Les Macédoniens sont légèrement supérieurs en nombre mais leurs rangs sont largement composés d'infanterie barbare, un contingent de hoplites est également présent.
La bataille s'engage par la charge des deux lignes d'infanterie lourde, les hoplites Lemnosiens tiennent le choc et contiennent la masse des ennemis qui leur font face. Les pertes sont lourdes mais les rangs ennemis sont clairsemés par les archers Lemnosiens plus nombreux que leurs adversaires Macédoniens.
Finalement l'infanterie barbare macédonienne se replie laissant place aux rangs de hoplites. Ceux ci n'auront même pas à combattre, les chefs Lemnosiens profitent de la pause pour replier leur armée et se retranchent sur les hauteurs, laissant les macédoniens bloqués sur les plages mais bien présents sur l'ile en encore en grand nombre.

- Au large du champ de bataille, les deux flottes s'affrontent. La flotte Lemnosienne en sous nombre perd rapidement du terrain et doit se replier de l'autre coté de l'ile dans le port de Lemnos.

- L'expansion Macédonienne, menée par les troupes d'élite Macédoniennes, à l'est est confrontée à une armée nombreuse de soldats d'élite de Lemnos aux alentours de Eleftheres. Les Macédoniens sont pessimistes, leurs 1500 troupes d'élites vont devoir affronter 4500 soldats de Lemnos. La bataille commence par une charge d'infanterie lourde. Les lignes de bataille entrent en contact et les hoplites macédoniens révèlent leur potentiel destructeur. Lancer de javelots, systèmes de ligne, sarissa géantes, les hoplites de Lemnos perdent du terrain et des hommes. L'infanterie barbare auxiliaire de Lemnos est elle confrontée aux gardes royaux Macédoniens. En quelques minutes, les barbares indisciplinés décampent et abandonnent le terrain. Le stratège Lemnosien peste et se promet de les faire décimer ! Le gros des troupes de Lemnos, très largement supérieur en nombre finit par démanteler les phalanges spéciales de Macédoine qui sont pourchassées. La cavalerie Macédonienne charge pour empêcher les Lemnosiens de trucider les fuyard, trop lents pour pouvoir leur échapper. Ce sacrifice héroïque permet la survie de nombreux soldats. Les archers Macédoniens 5 ou 6 fois inférieurs en nombre à leurs adversaires de Lemnos ne peuvent équilibrer la balance et sauver les restes de la garde royale Macédonienne qui redouble de fureur. Rappellés par leur stratège défait, ils se replient avec le reste de l'armée, laissant le champ libre a Lemnos pour s'emparer de la cité et des côtes.

Cnossos, Oaxos et Cydonia contre Rhodes :

- Les troupes coalisées sont en marche, unies sous la direction de Cnossos, elles annexent rapidement les terres libres de Crête et assaillent la cité de Kheisos. L'invasion est rapide. Les Rhodiens ont fichu le camp. La cité est occupée et les Rhodiens sont chassés de Crête. La fête bat son plein mais un grand nombre d'accidents surviennent, les soldats tombent, empoisonnés, les maladies se répandent, l'épidémie ravage les armées Crêtoises et la quarantaine est ordonnée.

- Maritimement, la guerre est moins reluisante pour les coalisés. Une partie de la flotte de Cnossos partie chercher des renforts a été dérobée lors d'une trahison de Pergame.

- En outre, la flotte de Rhodes, embusquée a pu prendre à revers la flotte de Oaxos en route pour Cnossos. Les navires d'Oaxos, inférieurs en nombre et stratégiquement mal barrés ont été pratiquement tous annihilés par l'excellence de la marine de Rhodes.

Rumeurs :
- Des pirates ravagent les cotes de Lesbos et de Rhodes, mais pas moyen de savoir d'où ils proviennent.
- Au moins deux cités Grecques auraient prété allégeance à la Perse.
- Le roi de Troie aurait été violenté par les troupes d'élite de Pergame.

Les spectateurs sont venus nombreux de tout le monde grecs, apportant ainsi beaucoup de monnaies à Elis et Olympie, ces deux cités se sont considérablement enrichies.

La course :

Les coureurs se placent sur la ligne de départ et attendent le signal des prètres qui ne tarde pas à venir. La foule est venue nombreuse pour encourager ses favoris. Les coureurs de Pergame, Dodon, Pella et Lesbos sont bien partis, alors que les autres restent groupés à l'arrière. La course en est déja à la moitié et les premiers restent premiers, Dodon passe devant Pergame, Pella et Lesbos tentent de se bousculer. Finalement, ils s'énèrvent. Les affaires politiques en dehors des jeux interviennent, les athlètes de Lesbos et Pella sont en train de s'entretuer sur la piste, se faisant dépasser par tout les autres !
Les prètres interviennent et les deux candidats repartent péniblement. Il n'arriveront pas à refaire leur retard et c'est Dodon qui l'emporte. Suivi de près par Argos puis Pergame. Pella est avant dernier, juste devant Lesbos.

Lesbos = 13
Delphes = 18
Epidamne = 21
Cnossos = 17
Elis = 15
Athènes = 17
Dodon = 28
Sparte = 12
Héraclée = 16
Halicarnasse = 15
Pergame = 22
Corinthe = 14
Ephèse = 17
Argos = 25
Pella = 14
Olympie = 15

Le lancer :

Les lanceurs sont appellés les uns après les autres pour faire preuve de leur habileté à manier le diskos. Cette épreuve est largement remportée par les athlètes de Lesbos, Pella et Corinthe avec 39, 37 et 34 mètres.
Avec un lancer pitoyable de 21 mètres, l'avorton d'Olympie finit à la dernière place.

Lesbos = 39
Delphes = 32
Epidamne = 30
Cnossos = 32
Elis = 24
Athènes = 25
Dodon = 30
Sparte = 32
Héraclée = 26
Halicarnasse = 25
Pergame = 24
Corinthe = 34
Ephèse = 24
Argos = 29
Pella = 37
Olympie = 21

Le pancrace :

Huitièmes de finale
Lesbos 18 - Delphes 16 : Un très bon match, les deux adversaires se sont jaugés longtemps et avec beaucoup de respect. Cependant, la fougue du Lesbien a eu raison de la technique de son adversaire.
Epidamne 4 - Cnossos 7 : Match très mou, finalement l'un des combattants éreinté a abandonné sous les huées.
Elis 19 - Athènes 16 : Très bon match, labourés de coups de poings, les deux combattants, le visage tuméfié ont fini par s'accorder sur la victoire d'Elis.
Dodon 7 - Sparte 5 : Après un geste technique, Dodon expulse son adversaire du lieu du combat malgré un combat poussif.
Héraclée 11 - Halicarnasse 26 : L'athlète d'Héraclée prend une héraclée ! Ce combattant d'Halicarnasse est à surveiller de près.
Pergame 19 - Corinthe 18 : Après un combat assez technique, les prêtres décident d'accorder la victoire a Pergame
Ephèse 16 - Argos 21 : Après un bon combat, l'Argien éclate son adversaire avec un coup de tête dont l'anatolien ne se remet pas.
Pella 20 - Olympie 12 : Un combat honorable, mais le Macédonien était supérieur. Il a terminé en écrasant la tête de son adversaire contre le sol.

Quarts de finale
Lesbos 17 - Cnossos 21 : Les deux adversaires se jaugent, s'estiment et s'élancent l'un vers l'autre. Les montagnes de msucles s'entrechoquent et commencent à se friter sévèrement. Le lesbien parvient a coller deux vilaines torgnoles au Crêtois. Cependant, celui ci se rattrape et, dans une ruade, parvient a plaquer son adversaire au sol. Celui ci est immobilisé et le Crêtois martèle le visage en sang du pauvre combattant. Celui ci est emmené inconscient hors du stade et Cnossos passe au tour suivant.
Elis 4 - Dodon 5 : Le citoyen d'Elis prend l'initiative en se ruant sur son adversaire, celui esquive la charge et envoie valdinguer son opposant droit sur les prêtres arbitres qui doivent lui accorder la victoire. Un combat frustrant, ni sang, ni coups ...
Halicarnasse 19 - Pergame 2 : Le combattant d'Halicarnasse annonce la couleur en hurlant son nom : NORRISSOS ! NORRISSOS ! Il impréssione drôlement la foule qui ets subjuguée par sa belle barbe blonde. Il commence a se précipiter sur son adversaire ébloui et lui colle un low-kick-rotatif ravageur. Ils se rue sur le Pergamite au sol et le bourre de coups, finalement, il attrape la tête de son ennemi et fait faire une violente rotation à ses pauvres cervicales qui ne tiennent pas le choc. Le corps est emmené hors du stade et Norrissos gagne !
Argos 2 - Pella 16 : Le Macédonien affronte un adversaire réduit, celui ci souffre encore de son dernier combat mais affronte le Pancrace courageusement. Les techniques de Pella et son entrainement lui permettent de surpasser largement le pauvre combattant Argien. Finalement, assomé, celui ci est évacué.

Demie finale
Cnossos 6 - Dodon 14 : Les deux combattants se regardent et entament leurs techniques de prédilection. Cnossos tente un double flip-flap latéral de Crête et Dodon quelques techniques poussées de Kolothderod, la célèbre lutte grecque. Le contact se fait, finalement les deux techniques ne marchent pas et s'ensuit une myriade de "coup de pied dans les roustons" ou "coup de boule" ou encore "grosse tatane". Après un "pain dans saggle" destructeur, le combattant de Cnossos doit se replier et laisser la victoire à son adversaire.
Halicarnasse 24 - Pella 2 : C'est le retour de Norrissos d'Halicarnasse, beaucoup de visiteurs sont venus voir cet incroyable guerrier. Le macédonien ne la ramène pas, il a pu assister aux combats précédents et a vu ce qu'il était advenu des combattants d'Héraclée et de Pergame. Le gong résonne et Norissos charge son adversaire. Le coup de butoir fait tomber le Macédonien qui se retrouve au sol et se fait tanner le cuir de la peau par les poings/massues de Norissos. Clé de bras, clé de jambe, pif paf poum crac ... Crack ? Les cotes du macédonien sont défoncées, du sang s'échappe de son corps et macule le sol de l'arène. Norrissos, redouble d'ardeur et explose littéralement la cage thoracique de son adversaire qui est évacué et protégé de Norissos par des hoplites Olympiens, il décèdera de ses bléssures quelques heures plus tard.

Petite finale
Cnossos 13 - Pella 10 : Le combattant de Pella étant disqualifié pour "décès", le Crêtois gagne la troisième place !
Finale
Dodon 13 - Halicarnasse 28 : Norissos est présent pour son quatrième combat, son palmarès est impressionnant, 2 morts et un blessé grave. L'athlète de dodon n'en mène pas large, il flippe grave et sa famille dans les tribunes pleure. Il doit maintenant affronter le terrifiant Norissos qui ricane en tendant la joue. Le dodonéen tente sa SEULE chance, il n'a pas le choix, c'est maintenant qu'il faut frapper, et assez fort pour assomer Norrissos d'un coup d'un seul, sinon s'en est fini de lui. Il s'élance dans les airs, tend son pied vers la joue de Norrissos en gueulant "HADOUKEN", le pied s'avance, Norrissos ne bouge pas, quel saut ! Le dodonéen vole littéralement, porté par Hermès, mes dieux ! Sa course ne s'arrète pas, il brille, il vole, le peuple le reconnait ! C'est ZEUS lui même qui a pris possession du corps de l'athlète pour renvoyer Norrissos dans les enfers d'ou il est accidentellement sorti, son sang souillera la grêce et des harpies en naitront ! Soudain, Norrissos attrape au vol le pied de son adversaire en interrompant le coup et d'un haussement de coude, le fait pivoter à 180 degrés sur son propre pied. WOOOOOOOOUUUUUUUUUAUAAAAAAUAUAURRRGH ! Le dodonéen est au sol et pleure grave sa race devant son pied entièrement désartibulé. Norrissos attrape son adversaires par les parties génitales et non ?! NON ! NOOOOOOON ! Un "spruitch" désagréable retentit dans le stade silencieux comme la mort et Norrissos gagne le combat faisant d'Halicarnasse la grande gagnante de l'épreuve de Pancrace.

Bilan
Dodon : 5 points (1er à la course, 2ème au Pancrace) = 3+2 points
Lesbos et Halicarnasse : 3 points (respectivements premiers au lancer et au pancrace.)
Argos et Pella : 2 points (2ème a la course et au lancer)
Cnossos, Corinthe et Pergame : 1 point (3èmes au pancrace, au lancer et à la course).

Les athlètes d'Elis et ceux d'Athènes se sont dont rencontrés à Athènes pour combattre et relever le défi lancé des deux bords.

Trois combattants de chaque équipe se sont réunis sur un même ring afin de disputer ce combat sous le regard des prêtres et des dieux. Les arbitres sonnent le début du combat et déja les coups volent des deux cotés, chaque guerrier à un adversaire en face de lui et aucune interférence n'est a déplorer.

Le combattant d'Athènes, habile et bien entrainé a vite fait de surpasser son adversaire et de lui infliger des blessures au visage. Le pauvre péloponésien appelle à la clémence des arbitres mais rien à faire, le combat doit se terminer. L'athénien effectue une clé de bras sur le cou de son adversaire qui parvient cependant à se dégager. Mais l'athénien ne le laisse pas reprendre son souffle, un uppercut l'assomme et le reste du combat passe comme un mauvais rève pour l'Eliséen complètement étourdi qui finit le combat le visage en sang et le nez complètement écrasé.

A coté de cela, les deux autres combattants ont bien l'intention de s'entretuer, l'Eliséen, frêre du candidat olympique décide de prendre l'initiative avec raison. Il décoche des mandales droit dans la tête et le ventre de son adversaire. Celui ci tente une frappe mais trop lente. L'Eliséen se baisse et laboure les parties souples de son ennemi avec conviction. Celui ci tombe au sol, s'en est fini de lui. Le terrible Eliséen lui colle un coup de pied dans la tête, elle vacille, il en met un autre, elle se plie, au troisième coup de pied, ses vertèbres craquent, quelques tressaillements et c'est terminé pour lui.

A quelques mètres de la, deux combattants sont encore en piste, l'athénien attaque en premier et lance un peu de sable vers son adversaire, celui ci déconcerté ne voit pas arriver le gauche de de l'athénien qui l'ébranle fortement. L'Eliséen est a terre mais se défend comme un hadès. Lors de la mélée qui s'ensuit, l'athénien s'énèrve et passe un doigt dans l'oeil droit de l'Eliséen qui explose "plouirtch". Dieux tout puissants ! Les arbitres interviennent pour empècher le vilain tricheur de commettre d'autres mauvais gestes et pour préserver l'oeil gauche du malheureux Péloponèsien. L'athénien est expulsé.

Le match doit continuer, deux Eliséen dont l'un borgne et vilainement amoché contre un seul Athénien. Le combat semble rude.
Aveuglé par la douleur et le sang qui ruisselle, l'Eliséen (que les hoplites obligent a poursuivre le combat, dans le plus pur respect des règles) approche de son adversaire, il est rendu fou par son oeil crevé et veut que cela s'arrète. L'athènien le voit venir et lui démet l'épaule en bloquant son bras. La souffrance fait s'évanouir le malheureux borgne. Tandis ce que l'athènien s'acharnait a éliminer l'infirme, le troisième athlète Eliséen toujours la attendait le moment propice pour intervenir. Le voici ! Il se jette sur sa victime ... son adversaire et lui tanne le cuir à grand coups de pieds et de mains. Couvert de plaies et de bleus, l'athénien se relève pourtant, juste a temps pour apercevoir le genou de son ennemi lui foncer dans le nez "chbroak". Il s'écroule au sol et rampe vers l'exterieur du ring, mais le peuple réclame le combat, les hoplites, les arbitres et l'Eliséen le ramènent de force au centre du combat. Les deux rois dans leurs tribunes semblent se haïr et réclament des cadavres pour étancher leur soif de surpasser l'autre, Arkantos d'Elis hurle : "Tue le ! Tue le !" Koratos d'Athènes est aussi virulent : "Arrache lui les noix !". Mais le pauvre et pantelant athlète athénien n'entend rien, ses oreilles saignent et sa tête bourdonne. L'athlète d'Elis prend un plaisir fou a trucider sur place celui qui fut autrefois un guerrier fort et fier. Coup de pied, coup de poing, genou dans les cotes, torsions des membres, doigts brisés ... rien n'y fait le combattant Athènien ne veut pas s'évanouir ... et il n'est plus question de le laisser repartir ... Finalement, l'Eliséen devenu enragé prépare son coup et frappe le cou de son ennemi abbatu du plat du pied. S'en est fini et la foule l'acclame.

Victoire d'Elis !


Elis1 (3) - Athènes1 (6)
Elis2 (13) - Athènes2 (1)
Elis3 (4) - Athènes3 (3)

Carte :


Nouvelles :
- Une tentative d'assassinat sur le roi de Pergame à eu lieu, mais celui ci a survécu à sa bléssure au bras. L'assassin n'a rien pu réveler, sa langué était coupée et il est mort assez rapidement entre les mains de ses bourreaux.
- Naxos est en guerre civile, le royaume a éclaté.
- Mantinée a voté son rattachement à Corinthe. Le conseil de mantinée, lourdement sous influence Corinthienne a appuyé ce choix.
- Les derniers rebelles Troyens ont été écrasés par l'armée de Pergame.
- Cydonia se serait rangée aux cotés de Cnossos, mélant les destins des deux cités.
- Phocée est entièrement détruite.

Guerres :
- Epidamne :
En adriatique, ce matin la, l'honneur n'était pas au rendez vous ... Les birèmes d'épidamnes, venues aider leurs amis de Dodon rallient la flotte Dodonienne. Erreur effroyable, à peine arrivés à quai, les soldats Dodoniens bloquent la sortie du port et abordent les navires. Les équipages n'opposent qu'une faible resistance tant le coup est dur.
Suite à cela, l'armée de Dodon traverse la frontière qu'elle partage avec la péninsule colonisée par Epidamne au sud ... C'est la guerre !
Quelques semaines plus tard, une immense flotte de navires Dodoniens et Eliséens s'approche d'Epidamne même, la cité se prépare, mais la plupart des troupes sont parties en macédoine et les soldats envoyés en colonisation à l'est du pays ont juste le temps de revenir pour affronter une armée coalisée qui commence le siège de la cité.
Les fortifications tiennent bon, les défenseurs aussi, les charges se succèdent sans trouver de faille jusqu'à ce qu'un groupe d'espions, revenus en même temps que la délégation épirote des jeux d'olympie, passe à l'action. Ils attaquent les gardes d'une porte isolée et lance leur signal. Les coalisés s'arment et partent à l'assaut de cette ville éventrée.
A l'interieur, 3500 épirotes, dont les rangs sont composés en presque intégralité de soldats entrainés et disciplinés tentent de resister aux 10.000 coalisés légèrement affaiblis à moitiés composés de troupes barbares qui les assaillent.
Le combat est rude, les archers d'Elis font un massacre parmis les troupes défensives dépourvues d'armes de tir. Et dans un ultime coup de boutoir de la cavalerie ennemie, les bataillons craquent et s'éparpillent dans les rues.
La cité est pillée entièrement, mais peu de violences sont faites sur les habitants. Le roi d'Epidamne est capturé par Elis et emmené, son armée est détruite et ses villes tombent les unes après les autres, l'épire est victime d'une fourberie sans nom. Cependant, le stratège de l'armée partie en Macédoine demeure et peut encore sauver sa patrie.
Cependant, dans la joie de la victoire, de sombres nouvelles parviennent aux Eliséens ...

- Elis :
Les jeux olympiques se terminent ce jour, ç'aurait du être un jour de fètes pour tous et de bonheur, mais ce ne fut pas le cas. Dès l'annonce de la fin de la trève olympique, Corinthe déclare la guerre à son voisin parti en guerre en Epire, les citoyens d'Elis sur le sol de Corinthe sont arrétés et vendus en masse à n'importe quel prix. L'armée Corinthienne entre dans le pays et commence le pillage des cités qu'elle occupe. Dans la cité d'Elis, de sombres rumeurs prétendent que 1000 corinthiens sont en marche. La garnison se prépare et sort de la cité pour repousser les envahisseurs.
Les deux armées s'approchent et se font enfin face. Mais la surprise est de taille, les corinthiens sont 8.000. Des messagers partent pour Elis immédiatement, il faut rappeler l'armée !
Le combat commence très mal et très vite, les archers Corinthiens déciment les rangs de miliciens d'Elis, le carnage est total. Le commandant décide du repli immédiat avant l'erradication. Sur le retour, ils sont harcelés par la cavalerie Corinthienne qui plombe encore leurs rangs.
Les rescapés se replient derrière les murs d'Elis en attendant les troupes ennemies. Celles ci ne se font pas tarder et le siège commence. Il est parfaitement inégal et plusieurs sommations sont lancées. Les miliciens ne sont pas réputés pour leur loyauté ou leur discipline et une grande majorité d'entre eux décide de livrer la cité contre leur vie.
Peu avant, le roi d'Elis s'est enfui, quelques espions Corinthiens ont bien tenté de l'assassiner avant sa fuite, mais les gardes veillaient et aucun mal ne lui a été fait. En revanche, le trésor royal d'Elis est tombé aux mains des assaillants.
Les troupes de Corinthe s'élancent vers l'ouest. Au même moment, l'armée partie en campagne revient et se prépare au combat. Ce sont presque 5000 soldats d'Elis, fatigués du voyage qui doivent affronter les 7500 corinthiens également fatigués.
Les deux lignes d'infantrie s'avance, les hoplites grecs se font face et entrent en contact. L'avantage revient aux Corinthiens, plus nombreux. Les archers Corinthiens prennent également le dessus rapidement sur leurs homologues deux fois moins nombreux. Les cavaleries entrent en scène, celle d'Elis est la encore moins nombreuse que son ennemie et fonce droit au massacre. Le stratège d'Elis sonne la retraite et l'armée reflue en désordre vers les navires à quelques kilomètres de la. Abandonnant une partie du butin de sa campagne d'épire.
Sur le voyage vers les iles d'Elis, de nombreux accidents surviennent, blessures infectées, fièvres, hallucinations et démence pour les plus graves font chuter encore un peu le moral des survivants. Mais ils ont encore le roi d'épidamne à fond de cale et celui ci se porte bien.
Les bléssés sont rapidement tous victimes de crises fortes et souffrent énormément. Cette armée doit être maudite !
Le reste du territoire continental d'Elis se rend, mais les iles continuent de resister.
Les marchands Corinthiens quittent les territoires de la ligue de Platée et Daoizos premier fait arreter les marchands de Pergame sur son territoire après avoir trouvé dans les palais d'Elis des preuves de la vassalité des Eliséens aux perses. D'autres preuves tendent à prouver qu'athènes serait mélée également aux perses.

- Phocée :
Profitant de la foule assemblée pour fêter les jeux d'olympie, un assassin a pu éliminer le roi de Phocée.
A la suite de cela, les armées d'Ephèse et de Pergame sont entrées dans le pays. Pergame, soutenue par une grande majorité du pays du fait du mariage royal et présentée comme l'unique rempart contre Ephèse est aidée par la population.
En revanche la resistance s'acharne sur les troupes d'Ephèse qui progressent lentement, elle font le siège de Phocée et rapidement, l'armée de Pergame intervient.
Rejointe par les défenseurs, Pergame fait face aux envahisseurs Ephèsiens. Ce sont 15.000 pergamiens et Phocéens qui affrontent 8500 Ephèsiens.
La bataille commence et comme à leur habitude, les deux lignes d'infantrie avancent l'une vers l'autre. Les hoplites de Phocée, appuyés par l'innombrable infanterie Perse de Pergame se précipitent sur les rangs ennemis bien compacts. La lutte est serrée, les perses meurent par centaines, mais leur nombre commence à ronger les rangs d'Ephèse. Ces derniers commencent à reculer.
Les archers d'Ephèse font cependant du dégat, ils sont seuls maitres des airs étant donné le très faible nombre de tireurs qui leur font face, ils trucident l'infanterie Perse. C'est visiblement la cavalerie qui donnera l'issue du combat. Celle de Pergame est un peu plus nombreuse que celle d'Ephèse, et de bien meilleure qualité. Ils écrasent les contingents de cavaliers venus les contrer et foncent sur les milliers d'archers.
Ils sont mitraillés, mais un petit nombre parvient jusqu'aux rangs ennemis alors que l'infantrie Ephèsienne craque. L'ensemble se rue sur le gros morceau que représente les archers ennemis. Infanterie et cavalerie réduite ont bien du mal à affronter au corps à corps des archers certes moins forts mais nombreux. C'est le moment que choisit le général Attalide (Pergame) pour faire entrer son arme secrète dans la mélée, les éléphants de guerre.
Ceux ci au nombre de cinq sont caparaçonnés jusqu'à l'os. Ils se précipitent sur les archers qui, bousculés par le reste des troupes de Pergame ne peut faire feu efficacement. Finalement un éléphant s'écroule, mais les autres, mieux protégés parviennent au contact et sèment la mort.
Les troupes Ephèsiennes, diminuées mais pas annihilées se replient non loin de la mais n'ont pas essuyé une très grosse défaite, ni concédé beaucoup de territoire, leur honneur est sauf !
Dans la foulée de la victoire couteuse, Pergame annexe les restes de Phocée, son armée et sa flotte avec le soutien du conseil Phocée, largement contrôlé par les Perses.
A la suite de ces évènements et conformément à leur accord, Smyrne, Ephèse et Milet s'allient contre Pergame et lui déclarent la guerre communément. Le conseil de Smyrne, conscient de la faiblesse de ses troupes vote même un rattachement sans condition avec Ephèse, plaçant son destin entre les mains de son dirigeant.

- Lesbos :
Chios déclare la guerre à Lesbos, appuyée par Andros. Les flottes de Chios ont vite fait de prendre les deux iles proches de sa capitale. Une troisième attaque a lieu sur l'ile de Skyros.
1000 soldats lesbien se précipitent vers la plage de débarquement des forces de Chios. Le combat s'engage et rapidement repoussent les Chiosiens dans leurs navires sans leur infliger trop de pertes cependant.
Andros elle attaque les Cyclades et, avec des forces très peu supérieures en nombre tombe sur un autre contingent de Lesbiens qui les rejette à la mer.
L'ile même de Lesbos est attaquée par une troupe de débarquement Héracléenne. Celle ci est lourdement armée et accompagnée de troupes neuves et fortes. Les troupes Lesbiennes sont composées en majeure partie d'archer, rendant la progression Héracléenne très lente et difficile. Ils subissent beaucoup de pertes et malgrès la réussite temporaire du débarquement, doivent se replier devant le nombre de leurs pertes et abandonner Lesbos.

- Lemnos
La flotte de Pella vogue vers Lemnos, venue vide et avec l'intention d'aider au repli des troupes bloquées sur l'ile. Conjointement, les troupes athéniennes voguent vers la cité pour épauler leurs alliés et la flotte d'Halicarnasse vient également aider à l'invasion de l'ile.
L'ile est en vue et la flotte de Lemnos aussi, celle ci dispose d'une cinquantaine de navire dont quelques uns sont neufs mais inexpérimentés. Les flottes s'avancent vers l'ile et s'apprètent à entrer en conflit avec celle des défenseurs.
Soudain, les flottes de Pergame et de Lesbos surgissent, prenant en embuscade les attaquants. La flotte de défense dispose maintenant de plus de 275 navires et interceptent les attaquant.
Le combat naval fait rage, les défenseurs en surnombre prennent le dessus et chassent leurs adversaires. Beaucoup de navires sont coulés, quelques uns sont capturés et les renforts athéniens et Halicarnassiens ont perdu de nombreuses troupes inutilement.
Sur la côte, les troupes macédoniennes ont entrepris de tout bruler avant le départ et ne peuvent que contempler, impuissants leur flotte repartir.
Un ultimatum est lancé par les Lemnosiens, ils s'apprètent à attaquer avec une armée supérieure en nombre et promettent la vie aux ennemis qui se rendraient.
Composés en majeure partie d'infantrie barbare peu disciplinée, des pans entiers de l'armée macédonienne se rendent. Finalement, restés trop peu nombreux, les chefs décident la reddition.
Les prisonniers sont vendus comme esclaves dans l'ile ou ailleurs.
Arrivée à peu près au même moment, la flotte d'Héraclée a tenté un débarquement, mais d'autres navires en embuscade de Pergame on mis fin à la tentative et chassé la flotte Héracléenne.
Les quelques centaines de soldats déja sur le sol ont été rapatriés en force après un rembarquement express. Le roi d'Héraclée, présent lui même sur les navires à subi une légère blessure à la jambe mais sans réelle gravité.

- Cote est de Pella :
La bataille s'annonce terrible, 14.000 Lemnosiens rencontrent 14.500 Macédoniens. Attirés dans une plaine, les Lemnosiens font face à leurs ennemis, confiants, car les forces adverses ne sont pas impressionnantes. La ligne d'infantrie Lemnosienne s'élance et le centre des lignes macédonienne s'avance également. Les archers Lemnosiens tirent des trois cotés, infligeant des dégats à leurs ennemis alors que les archers macédoniens, massés à gauche patientent.
Au centre, les hoplites macédoniens et les soldats royaux ne flanchent pas. Ils tiennent le choc face au troupes en surnombre qui leur font face. Le centre Macédonien est avancé et se retrouve un peu encerclé face aux lignes Lemnosiennes qui ont avancé en bloc. Les ailes macédoniennes interviennent et parviennent au contact. A droite et à gauche, les Lemnosiens perdent du terrain, alors qu'au centre ils en gagnent. L'aile droite et le centre macédoniens sont dépourvus d'archers, mais appuyés par les archers de gauche qui doivent tirer très loin pour atteindre les Lemnosiens.
A droite, les Macédoniens gagnent du terrain, au centre ils en perdent, à gauche ça stagne.
Le roi de Pella est présent sur le champ de bataille, monté sur son cheval, il harangue les troupes et combat au centre avec ses gardes royaux galvanisés. Cela ne suffit pourtant pas, très largement dépassés au corp à corp et criblés de flèches, le centre macédonien perd trop de terrain pour que la situation soit tenable.
La gauche est toujours stagnante, personne ne prend l'avantage car les archers macédoniens ne soutiennent pas assez leurs troupes, même si ils provoquent de lourdes pertes à droite.
La droite Lemnosienne à cedé, le centre Macédonien aussi, les deux formations se font face.
Le combat se poursuit, les cadavres s'empilent, les soldats Macédoniens de gauche commencent à souffrir du manque de soutien des tireurs, le centre Lemnosien et la droite Macédonienne sont de même force, l'un appuyé par une bonne troupe d'archers, l'autre en surnombre.
Finalement, le stratège Lemnosien décide un repli en ordre et les formations s'éloignent à reculon, les archers sont encore les seuls à causer quelques dégats.
28.500 combattants et au final près de 17.000 morts. C'est sans conteste la bataille la plus meurtrière des guerres hellèniques jusqu'à présent.

- Calchicide :
Les péninsules rebelles de Calchicide ont vu débarquer un grand nombre de troupes Lesbiennes. Rapidement, les trois cités sont prises et les péninsules tombent. Les armées s'avancent alors vers le territoire Macédonien. Celui ci est défendu par des troupes venues d'Epidamne. La bataille se fait alors que les trois forces de débarquement Lesbiennes se sont rejointes.
Les lignes d'infantrie avancent et le contact se fait. Les hoplites grecs de Lesbos ont tot fait de prendre le dessus sur l'infantrie barbare Epirote en sous-nombre. Celle ci se débande alors que leur cavalerie tente un contournement, les deux cavaleries se rencontrent, la encore, les épirotes sont en sous-nombre et moins bien armés et entrainés, la cavalerie barbare abandonne le champ de bataille, laissant les archers barbares à la merci des troupes Lesbiennes.
La perte est rude pour les survivants Epirotes qui apprennent en outre, que leur royaume a été envahi par une coalition venue d'Elis et de Dodon, ils font route vers les ruines de leur contrée pour tenter de renverser la vapeur et restaurer leur royaume, menés par un chef des plus charismatiques.

Rumeurs :
- Le roi d'Elis serait mort, assassiné et son pays contrôlé par une puissance extérieure.
- Dodon serait la première force navale du monde.
- Pella n'aurait envoyé au combat que la moitié de ses forces.
- Ephèse aurait plus de troupes que Pergame.
- Pergame ne serait pas la seule a disposer d'unités d'éléphants.
- Deux autres factions se seraient vassalisées à la Perse.
- La ligue du Péloponnèse serait en train de préparer une invasion de grande envergure.
- La Crête serait a nouveau unie.

Carte :


Nouvelles :

- Une très grande bataille s'est déroulée devant les murs de l'isthme de Corinthe, les armées coalisées du Péloponèse, venues pour détruire Athènes ont largement surpassée les courageux défenseurs. Soutenus par de vaillants hommes de Larissa, les Platéens tiennent leurs adversaires du bon coté du mur. Cependant, au large du Pirée, la situation est terrifiante. L'armada des birèmes Péloponèsiennes annihile la poignée de navires Athéniens et débarque des troupes en masse. En apprenant la nouvelle, les défenseurs du mur doivent rompre le combat et foncer à Athènes pour probablement mourir avec leur famille. Les armées coalisées se rejoignent et installent le siège de la cité. Près de deux fois supérieures en nombre aux Athéniens, les 30.000 hommes du péloponnèse parviennent a passer outre les murailles et prennent la ville. Le reste des territoires Athéniens est rapidement annexé à la ligue du Péloponnèse, s'en est fini de la république Athènienne. Cependant, poursuivant un fol espoir de vengeance, le roi Athénien réussit à s'enfuir avec une poignée de soldats fanatiques sur une birème.

- Avant de disparaitre, le roi d'Athènes a reçu une liste, il avait en effet mandé des espions en Perse pour avoir le coeur net sur les vassaux du Shahanshah. Lesbos, Pergam et Lemnos apparaissent évidemment sur cette liste, mais aussi Rhodes, Corinthe et Delphes. Faux document ? Erreur ? Quelles sont les leçons à tirer de cela ?

- Après la chute de leur cité et n'écoutant que leur courage, les Epirotes d'Epidamne s'apprètaient à lancer une ultime attaque contre leur cité chérie. Rapidement rejoints par les Dodoniens qui annexent les dernières terres du royaume d'Epire, la bataille s'engage. Les Dodoniens prennent largement l'avantage et s'en est bientot fini d'Epidamne. Les survivants se débandent, le stratège d'épire git sur le champ de bataille. Seuls survivants de ce royaume, les prisonniers emmenés par Elis, ainsi que leur roi.

- Oaxos est en crise, une émeute dégénère et rapidement enflamme la ville. Le sénat de la ville évacue, et l'anarchie s'installe. Rapidement un gouvernement provisoire se met en place et vote le rattachement de la cité à Cnossos.

- Olympie est parcourue de crises financières, ses vassaux se retournent et les villes et villages honteux d'avoir soutenu des vassaux Perses décident de se rallier à Sparte se fiant au bon sens de son dirigeant. Olympie disparait et les diplomates Corinthiens réussissent à la faire basculer dans le territoire de leur cité.

- Elis, traversant le territoire en proie au chaos d'Olympie avec l'accord des dirigeants dupe les garnisons Corinthienne et après d'apres combats récupère sa cité.

- Les forces de Lemnos, poursuivent leur guerre contre la Macédoine. Les armées de Pella déja très diminuées par les victoires Egéennes se débandent, la capitale est envahie et une grande partie du territoire Macédonien est annexé. Quelques portions de terres se rattachent d'elle même aux voisins de Pella.

- Les troupes Crétoises de Cnossos tentent quelques attaques sur les iles de théra et Mélos, malheureusement pour eux les armées et flottes Lesbiennes avaient déja annexé la région. Heuresement les troupes de Cnossos purent se replier sans trop de pertes.

- De grosses batailles eurent lieu sur les iles de Tinos, Ikaria, Amorgos et Mykonos. Les troupes de Lesbos sont venues en nombre annexer les iles de Chios après avoir vaincu sa flotte. Le combat est très inégal et les Chiosiens se replient vers l'ile principale.

- Au nord de l'Anatolie, la flotte de Pergame très réputée est entrée en conflit direct avec celle d'héraclée. Le massacre est total, chargées de troupes de débarquement, les héracléens se replient en laissant beaucoup de morts sur le terrain. Les troupes de Pergames chassent la présence Héracléenne d'Anatolie et récupèrent les territoires concédés plus tot.

- Au sud du territoire de Pergame, une immense armée de la ligue des cités unies d'Anatolie s'est mise en marche. Plus de 25.000 grecs libres ont ainsi franchi la frontière de Pergame et font face à l'armée de défense de celle ci. Le combat est très rapide, les forces Anatoliennes sont excellentes et nombreuses. Le stratège Perse doit reculer pour venir à la rencontre de l'armée principale qui revient des territoires héracléens du nord. La jonction se fait et le combat commence. La bataille est gigantesque, des crépitements de feu explosent dans les deux camps, des armes inédites sont essayées, les rangs de hoplites tombent par centaines, les archers tirent, les éléphants chargent. Les armées des cinq cités libres sont venues liberer Troie et Phocée et elle ne lachent pas un pouce de terrain. Finalement, la victoire leur revient. Pergame, aidée par ses armements originaux et ses unités hétéroclites parvient a bloquer l'avancée Grecque mais doit conceder sa première défaite, elle était numériquement dépassée.

- Les grecs s'empoisonnent. Chaque cité envoie ses fils détruire la nourriture de son adversaire, empoisonner l'eau de ses voisins pour un oui ou pour un non. Dans les grandes villes comme Dodon ou Corinthe, la nourriture manque et les citoyens meurent en masse, l'eau, empoisonnée, ajoute son lot de victimes. Les corps pourrissent dans les rues de toutes les cités et les épidémies s'emballent. Les campagnes sont ravagées, la famine règne et les guerres continuent privant les champs de bras pour le travail. La situation est critique, partout les prêtres annoncent des signes, l'armée de Corinthe serait bénie, Chios serait maudite, Andros serait maudite, Platée serait bénie ... Plus personne n'y comprend rien. La seule chose sure, c'est que les dieux sont en colère ... très en colère ... les populations diminuent et les villes se dépeuplent. Jamais la fin de la civilisation héllènique n'aura été aussi proche de se concrétiser. Les territoires de Sparte, Corinthe, Elis, Argos, Cnossos, Pergame, Anatolie, Delphes, Thèbes et le sud de Dodon sont très touchées par cette chute de la démographie. Les insulaires et les peuples éloignés sont assez protégés mais subissent de plus en plus les premières vagues d'épidémie. Il faut prendre des mesures. ET VITE !
Etendue de l'épidémie :


- Par ailleurs un nouveau modèle de birèmes vient d'apparaitre dans le monde. Les trirèmes composées de 3 rangs de rameurs sont maintenant disponibles. Les premiers à avoir effectué cette découverte, Pergame et Lesbos bénéficient d'une réduction du prix.

- La flotte de Pergame impose une taxe démesurée dans le détroit des Dardanelle remplissant ainsi ses coffres.

Rumeurs :

- La ligue Egéenne serait la plus puissante force militaire grâce à la sauvegarde de son hygiène.

- Pergame ferait venir des volontaires de tout l'empire Perse pour combler les trous.

Carte :


Nouvelles :

- A Larissa, une grande bataille s'est déroulée entre les forces de Dodon et les défenseurs. Près de 16.000 soldats se sont combattus dans les plaines. D'abord la charge de l'infantrie Dodonéenne, composée entièrement de hoplites Dodonéens et contrée par une infantrie de même nombre. Cette dernière est cependant composée de hoplites Macédoniens, mais également de hoplites basiques et même pour un quart d'infantrie Perse. Le combat est inégal et la ligne Larisséenne recule. Les archers interviennent des deux cotés, mais la encore, les hommes de Dodon ont l'avantage du nombre et de la qualité. Seule la cavalerie pourrait sauver les troupes de macédoine d'un désastre. Mais la encore les Dodonnéens ont frappé fort, des contingents de cavalerie royale charge le coté droit de la formation adverse et se retrouvent confrontés à une contre-attaque de la cavalerie Macédonienne. Surpassées, les levées en masse de cavaliers barbares n'auront pas suffit a avoir raison des cavaliers d'élite de Dodon. Cependant, ils auront causé assez de dégats pour empècher les Dodonéens de marcher sur la capitale cette année.
- Bataille navale au large des côtes Corinthiennes, une flotte de transport d'élis a été lourdement attaquée par la flotte de Dodon. Quelques navires ont réussi a forcer le blocus imposé au territoire d'Elis et à voguer vers Thèbes.
- Triple attaque sur Delphes. Les troupes de Thèbes et les survivants d'Elis marchent, unies, vers leur nouvel ennemie et franchissent la frontière. Elles se retrouvent face aux défenseurs Delphes. A 7500 contre 7000, la bataille s'avère serrée. Les troupes de Delphes sont levées en force et peu expérimentées. Les infantries se confrontent. La troupe des alliés moins nombreuse prend cependant l'avantage grâce à l'efficacité du bataillon sacré de Thèbes, régiment d'élite capable d'exploits. La ligne de Delphes recule, soutenue par les archers mais ravagées par les tirs ennemis. Soudain, les cavaleries coalisées chargent sur le coté droit et c'est la fin, le contingent de cavalerie de Delphes ne compte que 50 cavaliers contre 1500 face à eux. La débacle est totale dès cet instant, les hommes s'enfuient et sont trucidés par les cavaliers. Lors du combat pourtant, le roi d'Elis est tué avec une grande partie de ses troupes déja bien entamées par la bataille navale précédente.
- Quelques jours après avoir appris que les Thèbains avaient franchi les frontières, une troupe de Dodon entre également dans le territoire de Delphes, laissé à l'abandon et son armée défaite, envahie de tout cotés, Delphes est submergée et envahie par des troupes Thèbaines. Les deux armées d'envahisseurs ne se sont pas affrontées.
- Peu de temps après la chute de Delphes, une flotte de débarquement Dodonéenne s'empare des iles d'Elis laissées sans protection.
- A l'annonce de l'invasion des iles par Dodon, Corinthe envoie pacifiquement ses troupes annexer le territoire continental d'Elis abandonné. Aucune violence n'a été faite.
- Pourtant, sur les arrières de Corinthe, des hordes de bandits très agressives et très nombreuses se sont formées. Les quelques prisonniers interrogés ont permis de découvrir que ce millier de bandits était Epidamnien ... Etrange histoire. Toujours est il que ces maraudeurs causent de gros dégats à Corinthe et à son économie.

- Une grosse bataille navale à eu lieu entre les Anatoliens et les flottes de Pergame et Lesbos. Plus de 300 navires se sont rencontrés. Les flottes Perses ont eu largement le dessus et ont quasiment annihilé la flotte des Anatoliens.
- Cette bataille navale n'était qu'un prélude à un débarquement ! Une immense armée Lesbienne a débarqué non loin d'Ephèse. La garnison de 4000 archers s'est portée au devant des envahisseurs et engagèrent la bataille en pure perte devant le nombre de leurs adversaires. La force d'invasion Lesbienne s'est emparée de Milet, d'Ephèse et de leurs régions avant de se porter vers le front à Smyrne.
- D'un coté Pergame, de l'autre Lesbos et les Anatoliens retranchés dans Ephèse au milieu. Cette ville est le point de jonction des deux armées. Rapidement, les troupes Lesbiennes entrent dans la cité et commencent à chasser les défenseurs vers le coeur de la ville. De l'autre coté on pietinne, mais rapidement on force les portes. Les Anatoliens sont dépassés par le nombre de leurs ennemis et les rues sont emplies de sang. Les armées Anatoliennes sont écrasées sur tout les tableaux et les vassaux Perses triomphent.
- Une autre troupe de débarquement Lesbienne, appuyée encore une fois par la flotte de Pergame ont débarqué avec fracas sur Chios. La garnison est appelée et la bataille se prépare. L'attaque est bien coordonnée, mais leurs ennemis ont l'avantage. Les Lesbiens tentent de percer vers l'interieur des terres mais sont retenus sur leur tête de pont, il sera bien difficile de les en déloger.
- Le roi de Lesbos se rend en personne sur Naxos et, appuyé par ses hommes rallie l'ile à son territoire. De l'autre coté de la Grêce, une force expéditionnaire de Dodon prend le dernier territoire d'Epidamne.
- Triste destin pour le roi d'Athènes. En fuite sur ses birèmes, il fut pourchassé par les flottes de Pergame, de Lesbos et de Corinthe. Rapidement bloqué dans les sporades, son navire est arraisonné et il meurt honorablement en combattant sur un pont. Ses hommes sabordèrent les navires dont les fond étaient emplis d'or.

L'année s'annonçait violente, les armées étaient marche, les voisins deviennent des ennemis, les amis deviennent des suspects, les citoyens libres deviennent des esclaves ... les rois deviennent des tyrans.

Les spartiates, craignant pour la survie de l'honneur hellènique et l'avenir de leur glorieuse cité, intrépides, lancent une attaque navale sur les cotes de Dodon. La flotte part, toute l'armée, renforcée de nouvelles recrues et en proie a une juste colère se précipite vers le large d'Elis. Malheureusement, la gigantesque flotte de Dodon prévoyait un débarquement. Les navires de Lacédémone sont à 1 contre 3 et doivent conceder une lourde défaite. Les spartiates si forts sur terre, sont incapables de l'emporter et doivent rassembler les restes de leur armée et faire demi tour sans avoir posé le pied sur le territoire de Dodon.
Dodon, poursuit son offensive contre Larissa. Renforcée de nombreuses troupes et lourdement équipée, l'armée du roi Aedhristhène de Dodon écrasent les forces Macédoniennes et annexent la presque totalité du territoire ennemi. Presque totalité puisqu'un contingent leger de troupes Corinthiennes profite que l'armée de Larissa soit en combat contre Dodon pour s'emparer d'un bout de territoire.
Les profiteurs Perses sont aux rendez vous, profitant que l'armée Thèbaine soit stationnée à la frontière d'avec Dodon, Eretria débarque ses troupes renforcées de nouvelles recrues et envahit les cotes. Elles ne parviennent cependant pas a rendre la ville de Thèbes.
Pendant ce temps, en Anatolie, les vestiges de l'armée de la ligue des cités libres d'Anatolie est écrasée par une double attaque Lesbienne/Pergamite. Les deux armées se précipitent pour s'emparer du plus de territoire possible. Finalement la capitale Halicarnasse revient à Lesbos.
Au large de l'Anatolie, les armées Lesbiennes terminent l'invasion de l'ile de Chios. Cependant, malgrés les ruses des stratèges Lesbiens, l'armée Chiosienne s'enferme dans la cité et resiste. Le siège est posé, les troupes s'entretuent.
La Crête est attaquée ! Une armée Corinthienne vogue vers l'ouest de l'ile. L'ile est en vue, la flotte s'approche mais doit s'arreter. Une lourde flotte Lesbienne est déja la et débarque des troupes sur les cotes Crêtoises. L'avantage en vitesse des trirèmes Lesbiennes ont eu raison de la fougue des marins Corinthiens. Ceux ci doivent repartir, ayant reçu des ordres dans ce genre de situations pour ne pas provoquer de guerre.

Un repas banal au palais du roi Lesbien, sa femme et lui, ils mangent divers plats, un déjeuner assez frugal somme toute, quelques fruits et du lait ... Soudain, la femme du roi s'étouffe ! Les serviteurs se précipitent pour l'aider, elle suffoque et crache du sang ! Finalement les gardes personnels du roi l'emmènent chez un medecin. Elle n'y arrivera jamais en vie. Elle est rapidement enterrée et le roi fait son deuil.
L'assassin quand à lui est rapidement trouvé et interrogé. Il raconte être envoyé par Pergame et dit avoir tenté de tuer le roi de Lesbos. Ce piètre assassin est exécuté selon les rites. Le roi de Lesbos déclare la guerre à Pergame passant outre leur vassalisation commune.
Pendant ce temps, le roi d'Eretria est découvert mort, empoisonné lui aussi dans sa chambre. C'est parfaitement malvenu car déja, des armées Pergamites débarquent sur son ile. Les troupes de Pergame sont immenses, passant outre leur vassalisation commune une fois encore, le roi de Pergame a ordonné l'annexion d'Eretria a son royaume. Les troupes désorganisées insulaires sont écrasées rapidement.
Assoiffé de vengeance, le roi de Lesbos, en combinaison avec son alliée la reine de Lemnos, lance une attaque sur le territoire de Pergame ainsi que sur l'ile d'Eretria en proie à l'offensive Pergamite. Les armées s'avancent et, devant la masse qui s'abat sur elles, les troupes de Pergame sont vaincues et doivent se replier dans Eretria et Pergame. Les sièges sont posés et les défenses Pergamites dans la cité d'Eretria cèdent rapidement, sapées par les resistants. Le royaume d'Eretria se réorganise, aidé par les Egéens et s'intègre dans le territoire de Lesbos.
Troie est sauvagement pillée par les troupes Lemniennes, les citoyens sont massacrés à même la rue, une partie des femmes et des enfants sont asservis et la vile est incendiée. Elle se consumera intégralement en une bonne semaine, mis à part quelques pans de murs, il ne reste rien que des cendres à Troie, des cendres et des mouches ...

Sur le continent Européen, prévenant les projets de trahison de son ami d'Appollonnie, le roi de Dodon avance son armée dans le territoire Epirote et balaie les contingents en formation des défenseurs. Les envahisseurs se heurtent cependant à une lourde défense de troupes de choc : les ombres d'hades. Ces guerriers en transe causent des ravages dans le ravitaillement Dodonien et surtout terrorisent l'armée des assaillants. Mais l'invasion est inéluctable. Le territoire est annexé et la ville pillée, des soldats Dodoniens découvrent dans le palais des ordres de préparation d'une attaque envers Dodon d'ici deux à trois ans.
La flotte Dodonienne, après sa grande victoire contre Sparte est envoyée faire le blocus des ports du Péloponnèse. Les troupes de Dodon s'emparent de l'ile de Cythère, détenue par Argos.
L'invasion Lesbienne de la Crête s'achève malgré une bonne resistance Crétoise.
Le siège de Chios se poursuit, les défenseurs se battent comme des chiens enragés. Cependant, malgré le net recul de l'épidémie dans le reste de la Grêce, la concentration de citoyens dans Chios dégrade la situation sanitaire. Les conditions sont effroyables à l'intérieur des murs et les incendies causés par les attaquants se multiplient.

Le siège de Pergame n'aura pas duré, la reine de Lemnos et le roi de Lesbos, soucieux d'en fnir vite lancent l'attaque contre les imposants murs de la cité qui aura fait trembler la Grêce. L'effort paie puisque celle ci tombe. Pergame est conquise ! Le roi de Pergame est capturé, des entailles sont pratiquées sur son corps et il est trainé par une chaine à l'arrière d'une birème. Noyé puis dévoré par les requins, ce grand roi, tyran diront certains, impérator diront d'autres, n'est plus.
Lors de la fète qui ponctue la victoire, le roi et la reine de Lemnos discutent pendant des heures en privé ... finalement ils rassemblent leurs troupes et annoncent leur mariage prochain ainsi que la réunification de leurs deux royaumes dans la satrapie Egéenne ! La liesse est totale, les soldats fètent l'âge d'or qui s'ouvre devant eux !
Le roi de Lesbos, ayant découvert des ordres assez anciens, stipulant que les troupes d'Halicarnasse devaient violenter la famille royale de Lemnos lors de son invasion par les forces coalisées il y a quelques années a décidé de faire offrir le roi d'Halicarnasse à sa nouvelle épouse. Celle ci l'a confié aux bons soins de ses soldats, ravis de venger leur reine et de satisfaire deux années de besoins primaires accumulés. A la fin de quoi, l'un des soldats l'égorgea promptement et le cadavre traina plusieurs jours dans le camp Egéen.
Au nord, les troupes de Lemnos avancent doucement, grapillant quelques territoires et tatant les capacités défensives d'Héraclée, une offensive est à craindre.
Le siège de Chios s'achève, les défenseurs se rendent. Honorablement le roi de Chios et celui de Lesbos, autrfois alliés traitent calmement et le vainqueur épargne le vaincu et sa population. Ce dernier est exilé de Chios et la ville peut panser ses plaies.

Les garnisons de Thèbes sont mises à rude épreuve, leur royaume est isolé, des eretriens ont envahi leurs cotes et surtout ... l'armée Dodonienne au grand complet s'assemble sous leurs murailles avec dans l'idée de détruire le royaume Thèbain. La lutte est terrible, les deux partis laissent beaucoup de morts. La différence c'est que les morts de Dodon sont remplacés par le triple de vivants alors que les reserves de Thèbes s'épuisent. Finalement, les murailles sont percées et rien ne peut empècher la déferlante Dodonienne sur les territoires.
Profitant comme toujours de la lutte de leurs alliés, Corinthe attaque Thèbes par derrière et s'empare de la cité avec fourberie ! Le roi de Corinthe se déshonore à chaque instant !
Comme c'était prévisible, les forces Egéennes au grand complet se ruent vers Héraclée. Cette guerre sera la plus meutrière de toute l'histoire grecque, près de 50.000 combattants, venus de toutes les cités grecques de la satrapie Egéenne et même des campagnes perses de Pergame, des esclaves anatoliens libérés, des mercenaires thraces, des eretriens, des Macédoniens, des Crêtois ... toutes les nations unies sous la bannière égéenne se lancent sur les formidables défenses d'Héraclée. Le combat est homèrique, titanesque. Les dieux doivent le contempler mais il est peu probable qu'avec toutes ses forces unies le panthéon parvienne a changer le destin formidable des trois armées qui se fracassent sur le sol d'Héraclée.
La cité tombe, les débarquements se multiplient, les héracléens se battent comme des chiens enragés pour la moindre ferme, le moindre village, les sarissa percent les corps, les flèches volent, le pays est parcouru de spasme et la terre voit fleurir des blés nourris par le sang des hommes. Mais le rapport de force est trop évident, les égéens sont à 10 contre 1 par endroit. La formidable armée Héracléenne, sans doute la plus professionelle de son temps doit ceder du terrain et se retirer, défaite. La cité tombe et le roi s'échappe avec sa famille vers le territoire de ses alliés Thraces. Son destin semble sombre.

Les prètres avaient annoncé du changement ... cette année, le roi de Corinthe abdiqua en faveur de son fils, celui ci, grec jusqu'au bout des ongles renia l'allégeance envers le shahanshah et la Perse et lança ses forces à l'attaque d'Epidamne afin de rétablir un royaume libre grec la bas. Si il avait écouté les conseils de stratèges plus avisés, il aurait su qu'il ne faut pas attaquer maritimement la faction dotée de la plus forte force navale du temps (Egéens exeptés). Les trirèmes, sorties des chantiers navals Dodoniens interceptent les armées embarquées de Corinthe et ravagent leurs rangs. La faible flotte de guerre corinthienne est balayée et doit se replier vers Corinthe.
Au même moment, une offensive terrestre échoue également. Les troupes de Dodon se massent au frontière et contre-attaque un peu prenant quelques territoires mais ne s'avançant pas dans l'intérieur du royaume du traitre.
L'invasion d'Héraclée se termine, le roi et sa cour sont en fuite en Thrace. La bas, il trouve protection auprès de son ami et allié le roi des Thraces. Fort de ses légionnaires héracléens il poursuivra son aventure dans ces terres reculées. Les Egéens annexent le reste du territoire à leur satrapie et débutent de grandes festivités en l'honneur de leurs deux dirigeants !
En respect de leur alliance, la satrapie Egéenne déclara la guerre à Corinthe et poursuivra les combats aux cotés de leurs alliés de Dodon. Alliés auxquels elle offrira les anciennes conquètes Eretriennes à Thèbes, gages de bonne entente.

- Lesbos (puis satrapie d'Egée) : Temudhun Khan[/b] Une faction très mal partie, passée très près de la destruction, mais finalement sauvée par ses reptations diplomatiques et ses bluffs. Devenu une grande puissance militaire et maritime, elle a pu s'étendre et dominer la mer Egée. Preservée par les épidémies du Péloponnèse, son armée devint la force de frappe que nous connaissons. Son roi est actuellement en vie, veuf de sa première femme, respecté et reconnu par le Shah, il fut nommé satrape d'Egée, en colaboration avec la reine de Lemnos, sa nouvelle épouse et son alliée.

- Lemnos (puis satrapie d'Egée) : Marvailh Canmore A l'instar de son allié de toujours, Lemnos est passé à deux doigts d'une catastrophe. Sur le point d'être envahie, elle est finalement sauvée in-extremis par la flotte de Pergame. Poursuivan sa guerre seule contre Pella, elle se base sur les ressources macédoniennes pour fonder sa puissante armée et renforcer son économie. Préservée de l'épidémie du Péloponnèse, elle a pu révéler sa puissance à ce moment la. La reine de Lemnos est actuellement en vie aux cotés de son époux, règnant avec lui sur les terres d'Egée.

- Dodon (puis Satrapie de Grèce) : Aedhr Une faction de traitres, ayant commencé par se renforcer, Dodon pu exploser littéralement lors de la grande épidémie. Presérvées, ses troupes n'eurent aucun mal a surpasser les armées de ses voisins. Usant et abusant de trahisons et de pièges, Dodon grignota les royaumes adjacents et devint la force actuelle. Son roi est toujours en vie et réside à Dodon même d'ou il coordonne l'attaque sur Corinthe.

- Sparte : Baron von Limpzen Voila des grecs, des vrais. Jamais tentés par les mielleux discours de la Perse, jamais effrayés par les listes factices de vassaux Perses ou par les mensonges grossiers du Shahanshah, ne remettant jamais leur honneur en question, les Spartiates sont les derniers à incarner la civilisation hellénique pure. Sa force militaire n'a pas beaucoup servi, mais la grande victoire qu'elle a remporté à Athènes prouve que le feu peut couver et que les plus bruyants ne sont pas les plus forts. Son roi est toujours en vie à Sparte et administre son peuple avec justice et respect. Les lacédémoniens sont heureux.

- Corinthe : Luis Daoiz Autrefois grecs, puis perses, puis grecs, changeant d'allégeance comme de toge, le roi de Corinthe fera tout pour survivre et envahir. Auréolé de sa victoire face à Elis, l'armée Corinthienne en impose, elle confirme sa puissance lors de la prise d'Athènes. Malheureusement, plombée par les épidémies et sapée par une économie vacillante, elle ne réussira pas à se reformer et à garder son avantage contre la montée des gros vassaux Perses. Son roi est actuellement en vie, il réside à Corinthe et organise la défense desespérée contre les vagues de soldats des deux satrapies qui ne tarderont plus à percer ses défenses.

- Rhodes : Servietsky Agitée au départ, silencieuse par la suite. Rhodes s'est peu découverte lors de la guerre contre la Crète. Elle a par la suite rejoint la ligue Egéenne et le camp des Perses et ce sans défaillance jusqu'au bout. Elle n'est aujourd'hui pas intégrée à l'empire sous une satrapie, et a été liberée de sa vassalité par le Shahanshah qui a préféré s'en faire une alliée. Son roi est toujours en vie et gère ses terres insulaires avec parcimonie. Rhodes est une terre heureuse.

- Argos : Hoplite_42 Toujours discrète, la paisible cité d'Argos a peut être manqué de virulence. Muette sur le plan diplomatique, mais efficace sur le plan militaire. Il aurait peut être fallu développer l'armée et recruter plus afin de concurrencer les plus grosses forces de Grêce, mais ce n'était pas la voie que voulait suivre le roi d'Argos. Son peuple fut de toute temps heureux et prospère, préservée des guerres, elle subit cependant quelques escarmouches contre les Satrapies qui ne manquent aucune occasion de remettre en cause l'indépendance et la liberté qu'ils revendiquent." Son roi est toujours en vie à Argos.

- Héraclée : Beregil Sans doute le plus fort des grecs, mais hélas isolée. La cité fut vaincu à la minute ou sa flotte fut écrasée par les navires de Pergame. Incapable de sortir de son coin, la cité pourtant extrêmement forte n'a pu que subir les assauts et tomber devant les troupes Egéennes. Son armée était la plus professionnelle de grèce, très lourdement équipée et accompagnée de machineries de siège très efficaces. Son roi a fui vers la Thrace, il règne aujourd'hui sur des terres confiées par son ami et allié le roi de Thrace.

- Thèbes : Hannibal_Barca Faction révélée tardivement, elle n'avait pas l'armée qui convenait à ses prétentions diplomatique, ayant réussi à attirer l'attention sur elle, sa chute était inéluctable. Nous noteront cependant, qu'à l'heure ou les Perses régnaient en maitre, le roi de Thèbes n'a pas hésité à s'opposer à eux diplomatiquement et tenta même de réunir les dernières défenses grecques. Son roi est mort, exécuté lors de la prise de la capitale par les Corinthiens.

- Eretria : ??? Faction tardive, Eretria a quelques faits d'armes à son actif, la prise de Naxos ou le débarquement à Thèbes. Elle est surtout connue pour l'anonymat complet de son roi, personne ne l'ayant jamais vu. Certaines rumeurs parlent d'un "Lhydelarthènos Quelsaloparisthène", roi dont nous n'auront jamais plus de nouvelles. Assassiné dans la chambre royale de son palais, ce roi avait réussi en peu de tours a faire de son ile misérable une faction digne de ce nom. Son roi est mort assassiné par Pergame selon la rumeur.

- Pergame : Wissemaster Glorieuse cité que celle la, elle ne compte plus ses victoires. Victorieuse à Lemnos contre une coalition de flottes, victorieuse à Troie, victorieuse à Phocée, victorieuse contre la flotte d'Héraclée et victorieuse contre Ephèse ... Cette grande puissance nourrissait sa perte en son sein. Sa population, décimée par les guerres n'a pas pu tenir le rythme final emmené par ses protégées d'hier, Lesbos et Lemnos. Unies, ces deux cités montantes ont écrasé celle dont le nom fut synonyme d'empire. son roi est mort, noyé, dévoré par les requins de la mer Egée.

- Ephèse (puis ligue Anatolienne) : Sid Marcus Puissance montante dès le départ, Ephèse a toujours agi en coordination avec son économie. Forte militairement et économiquement, elle entreprend de s'attaquer à la légendaire Pergame. Elle assemble autour d'elle les cités grecques et brandit un drapeau de libertés. Elle mène son armée à Phocée et à Smyrne ou les coalisés vont de victoires en victoires. Mais si seule elle aurait probablement finit par vaincre Pergame, l'arrivée des autres vassaux Perses dans cette guerre rendit le combat lourdement inégal. Ephèse fut envahie après un débarquement Lesbien. Son roi est mort, tué au combat contre Pergame.

- Apollonnie : Lucius Landa Faction modeste mais ambitieuse, elle avait pour objectif de détruire Dodon de l'intérieur. Cependant, celle ci l'attaqua avant qu'elle n'ai pu mettre au point ses plans d'armée gigantesque. Ses serviteurs d'Hadès furent d'impressionnants soldats mais cela ne suffit pas. Son roi est mort dans les geôles Dodoniennes.

- Halicarnasse (puis ligue Anatolienne) : Attalus Force discrète, elle annexe quelques territoires libres proche de sa capitale. Rapidement elle rejoint Ephèse et s'unit à la ligue Anatolienne. Aux cotés de son allié lors des victoires, elle l'est aussi lors des défaites et se fait écraser par Pergame et Lesbos alors que les troupes coalisées sont en fuite. Son roi est mort, sauvagement torturé dans un camp Egéen.

- Cnossos : Consul_Titus Ville prospère, Cnossos est passée non loin de la fin quand nombre de cités menaçaient son ile. elle s'en est pourtant sortie indemne et même a moitié victorieuse de la guerre contre rhodes. Elle unifia l'ile et resta neutre des conflits qui se déroulaient. Son roi est mort lors de la prise de Cnossos.

- Chios : Celtiktom Seul opposant naturel de Lesbos, le roi de Chios avait emmené sa cité dans une logique séparatiste dangereuse et en paya les frais. Fondant une deuxième ligue Egéenne, il se déclarait l'ennemi naturel de Lesbos et Lemnos. Le territoire fut grignoté, l'armée de Chios ne pouvant pas rivaliser avec l'expansion rapide du territoire Lesbien. Finalement, après deux années d'un siège éreintant, elle se rendit. Laissé libre d'être jugé par son peuple, le roi de Chios fut condamné à l'exil. Le roi vit toujours et réside à Naxos ou il coule des jours heureux loin de la politique.

- Delphes : Raft_Wars Ville trahie, Delphes avait rejoint l'empire Perse secrètement avant toutes les autres. Plutôt discrète dans sa diplomatie, elle ne survécut pas à la FAUSSE liste du Shahanshah, en effet elle avait rompu son allégeance bien avant. Détail que l'empire Perse avait omis de préciser. Certains y virent une occasion de s'étendre, d'autre une occasion de se venger. Toujours est il qu'elle fut attaquée par des Perses et des Grecs, tous unis dans leur soif de vengeance et d'expansion. son roi est mort, tué lors des combats.

- Athènes : Wellan Flambeau de la ligue de Platée, Athènes s'est opposée courageusement à la ligue du Péloponnèse. Puissante est respectée, elle fut pourtant prise par ses ennemis. Les armées de ses alliés firent gravement défaut lors du siège. Seule Larissa sera venue l'aider. Son roi a fui la ville en navire avec pour intention de se venger. il fut rattrapé par les flottes Perses et s'est probablement noyé lors du naufrage de son navire.

- Larissa : Mido 1023 Ville honnête et franche, Larissa ne parlait pas pour ne rien dire. Economiquement forte, mais militairement restée sur le modèle traditionnel des cités états. Ne disposant que d'un faible contingent et de peu d'espace vital, la mobilisation générale d'avant l'attaque Dodonienne ne suffit pas à repousser les assaut ennemis. Le roi de Larissa n'a pas été retrouvé et nul ne sait ou il se trouve.

- Elis : Arkantos Ville organisatrice des jeux d'Olympie, Elis fut trahie en pleine trahison. Attaquée par surprise par Corinthe alors qu'elle même attaquait Epidamne par surprise, les prètres virent la une vengeance divine. Survivant mal dans ses iles, Elis dut s'acoquiner avec des prisonniers, des esclaves et des brigands pour continuer sa lutte contre Corinthe et reprendre quelques temps sa cité chérie. Lors d'une ultime attaque aux cotés de Thèbes, elle fut écrasée par Dodon et Corinthe. Son roi est mort au combat.

- Epidamne : Kevin13 Trahisons et enfer furent le quotidien du peuple d'Epidamne. Pourtant emmenée par un dirigeant bon et juste, elle ne trouva pas la force de resister à l'attaque traitresse d'Elis et de dodon alors même que son armée étaient à la défense de Pella, à des centaines de kilomètres de la. Prise en deux vagues d'assaut, le royaume sombra. A l'est, un stratège poursuivit la lutte alors que la famille royale était emmenée en esclavage avec des milliers d'Epirotes à Elis. Suite au destin de cette dernière ils furent retrenus sur les iles d'Elis ou ils se mêlèrent peu à peu aux populations. La grande épidémie causa de tels ravages que la famille royale elle même fut affectée. Le roi d'Epidamne, amateur de fraise, Plougastelos le grand, est mort de maladie avec une grande partie de sa famille. Le stratège resistant fut tué au combat avec ses dernières troupes.

- Pella : Maalkhavania Antrostja (Rhalina) Capitale de Macédoine, Pella s'est rapidement retrouvée en guerre contre Lemnos. Ayant concentré toutes ses forces sur l'ile capitale de son ennemie et sur les troupes continentales de Lemnos, le roi de Pella fut vaincu quand la flotte de Pergame empêcha les divers débarquement et détruisit une grande partie des armée coalisées venues aider Pella dans sa lutte. Le roi abdiqua et son héritier signa une paix avec Lesbos, provoquant le retrait des troupes coalisées. Ce que tout le monde avait oublié, c'est que Lemnos elle était toujours en guerre et face à un ennemi complètement désarmé. Le territoire fut annexé au territoire Lemnosien et plus tard à la satrapie Egéenne. Son roi est toujours en vie quelque part dans la satrapie Egéenne.

Top 10 militaire total (sur l'ensemble du jeu) :

1. Héraclée
   
2. Lesbos
   
3. Lemnos
   
4. Pergame
   
5. Sparte
   
6. Dodon
   
7. Corinthe
   
8. Athènes
   
9. Chios
   
10. Rhodes

Top 10 économique total :

1. Dodon
   
2. Appolonnie
   
3. Ephèse
   
4. Athènes
   
5. Corinthe
   
6. Sparte
   
7. Héraclée
   
8. Lemnos
   
9. Lesbos
   
10. Epidamne

Top 10 total (survivants puis les autres) :

1. Satrapie d'Égée (Lesbos et Lemnos)
   
2. Satrapie de Grêce (Dodon)
   
3. Sparte
   
4. Corinthe
   
5. Rhodes
   
6. Argos
   
7. Héraclée
   
8. Pergame
   
9. Cnossos
   
10. Thèbes

Titres :

• Avec son empire formé en très peu de temps et a la seule force de ses stratégies, Aedhr gagne le titre d'ALEXANDRE pour sa première participation il gagne aussi le titre d'OUTSIDER
  
• Avec son armée ordonnée, propre et technologiquement en avance sur son temps, Beregil gagne le titre de CAESAR
  
• Avec son territoire démesuré et la gloire de sa faction, ayant su s'imposer dans un monde d'hommes, Marvailh gagne le titre de CLEOPATRE.
  
• Avec son élimination rapide, Kevin13 gagne le titre de EQUIPE DE FRANCE COUPE DU MONDE AFRIQUE DU SUD 2010 il gagne aussi le titre de PAEDRIC
  
• Avec son règne mystérieux et son anonymat préserve, Lhydelhart gagne le titre de LAURENCE WARGRAVE, il gagne aussi le titre de FANTOMAS
  
• Avec son écrasante supériorité militaire et son mariage avec la reine de Lemnos, Temudhun gagne le titre de [b]MARC ANTOINE.
  
• Pour avoir uni les cités d'Anatolie et résisté à l'envahisseur, Sid Marcus gagne le titre de VERCINGETORIX
  
• Pour son honneur jamais vacillant et son aptitude au combat, Argon von Limpzen gagne le titre de LEONIDAS
  
• Pour ses revirement de camps et le maintien malgré tout de sa lignée au pouvoir, Luis Daoiz gagne le titre de BERNADOTTE
  
• Pour son ile prospère, Servietsky gagne le titre de MIDAS
  
• Pour son règne haut en couleur et sa force militaire défaite, Wissemaster gagne le titre de XERXES, il gagne aussi le titre de SANTA ANNA pour ses sièges toujours sanglants.
  
• Pour son peuple heureux, ses lois, sa justice et surtout les réformes profondes engagées Hoplite42 gagne le titre de CHARLEMAGNE, il y gagne aussi le titre d'ABBE PIERRE
  
• Pour la main qu'il tendit à Elis alors que celle ci était au plus mal, Hannibal_Barca gagne le titre de SAINT MARTIN, il partage aussi le titre d'ABBE PIERRE avec Hoplite42
  
• Pour ses rèves fous de grande armée de fanatiques embrigadés, Lucius Landa gagne le titre de ADOLFil gagne aussi le titre de COLONEL LANDA pour sa fourberie.
  
• Pour avoir suivi aveuglement Marcus dans ses choix et ne l'avoir jamais trahi, Attalus gagne le titre de JOACHIM MURAT, il gagne aussi le titre de MILOU
  
• Pour avoir unifié son territoire naturel, la crête, dans son intégralité, Consul-Titus gagne le titre de LINCOLN, il gagne aussi le titre d'Ocatarinetabellatchitchix
  
• Pour s'être défendu jusqu'au bout du bout du bout, jusqu'a ce que son peuple soit mort et surtout au milieu des flammes de sa ville qui brule, Celtiktom gagne le titre de NERON, il gagne aussi et surtout le titre de JEAN MOULIN pour sa resistance.
  
• Pour avoir été attaqué sur de grossiers mensonges d'un empire expansionniste lointain qui fut un allié précieux pour son armement, Raft Wars gagne le titre de SADDAM HUSSEIN
  
• Pour avoir été le dernier rempart contre les assauts de la ligue du Péloponnèse, Wellan gagne le titre de DAVY CROCKETT, il gagne aussi le titre de YASHIN pour les même raisons et le titre de KERSAUZON pour d'autres raisons.
  
• Pour sa mobilisation générale forcée et désespérée de toute sa population et pour son élan patriotique ultime, Mido gagne le titre de JOSEF VISSARIONOVITH DJOUGATCHVILI
  
• Pour son royaume insulaire de guérilleros aux techniques pas correctes du tout que même les nazis sont effrayés, Arkantos gagne le titre de VON MACKENSEN, il gagne aussi le titre de CHE GUEVARKANTOS
  
• Pour avoir déclenché la première guerre originelle du jeu, Rhalina gagne le titre de FRANCOIS FERDINAND, ARCHIDUC D'AUTRICHE

Sans conteste, les grands gagnants du jeu furent Aedhr (Dodon) devenu satrape de Grêce et Marvailh/Temudh (Lemnos/Lesbos) devenus satrapes d'Egée. Le Shahanshah est ravi de la tournure des évènements, en 10 ans, ses vassaux ont conquis la grêce qui est enfin sous domination de l'empire !
Si un classement grec devait se faire, Argon (Sparte) et Beregil (Héraclée) seraient aux deux premières places, forts, loyaux et honnêtes, ces deux factions n'ont jamais eu recours a des sabotages ou des malversations et furent de tout temps dans les meilleures places de classements militaires.
Argos et Rhodes n'étaient pas assez étendues géographiquement pour être réellement parmis les plus puissants, mais leur gestion fut bonne puisqu'ils ont survécu.
Corinthe est une vraie saloperie ^^ traitre jusqu'au fond de la moelle et adepte de tous les vices. Elle finit 3ème au classement grec grâce à ses machinations !!!

Classement final :

1. Satrapie d'Egée
   
2. Satrapie de Grêce
   
3. Sparte
   
4. Héraclée (disparue)
   
5. Corinthe

Classement grec :

1. Sparte
   
2. Héraclée
   
3. Corinthe
   
4. Ligue Anatolienne
   
5. Argos

Classement Perse :

1. Satrapie d'Egée
   
2. Satrapie de Grêce
   
3. Pergame
   
4. Rhodes
   
5. Corinthe => Eretria