1492 : Renaissance !

Nouveauté sur la carte, les hachures : les hachures noires représentent les territoires "anarchiques", c'est à dire sans chef précis à l'heure actuelle. Les hachures blanches représentent les territoires contrôlés par les croisés.

Il semblerait que les Princes électeurs du Saint Empire Romain Germanique soient les cibles d’une organisation secrète mondiale, ou qu’ils soient tellement malchanceux qu’ils meurent tous d’un terrible accident malheureux survenu tout à fait au hasard, bien sûr. C’est ainsi que, peu après le mariage de sa sœur avec le Duc de Franconie, le Duc de Bavière décéda lors d’une partie de chasse, un arbre lui tomba tout simplement sur la tête. On trouva des preuves accablant l’Autriche à foison, vas y que je trouve un écu autrichien par là et vas y que je trouve tabard autrichien par ci, tellement de preuves que ce fut suspect aux yeux de certaines personnes. Quoi qu’il en soit, peu après la mort du dit Duc de Bavière, le Duc de Franconie se proclama Duc de Bavière par mariage, spoliant ainsi le droit héréditaire d’Élisabeth de Palatinat, héritière directe.
Quelques temps passèrent et le Duché de Souabe se voyait à nouveau en proie aux troubles, et les nobles ne reconnaissant pas le Duc de Lorraine Roy de Lotharingie furent tout à coup à la tête d’une armée seigneuriale conséquente avec à leurs bottes nombre de feudataires qui déjà accusaient le Duc de Lorraine d’avoir lâchement assassiné le défunt Duc de Souabe. Mais grâce aux généreux dons du contesté Roy de Lotharingie, toute la noblesse ne se souleva pas, la région septentrionale du Duché fit toute fois sécession au profit du « Bon et Grand Duc de Franconie » .
Dans le Saint Empire toujours, l’armée impériale prit position à Vienne, ou l’Empereur Maximilien d’Autriche avait levé le ban de ses vassaux. Le Duc de Bavière, de son vivant, avait envoyé son armée, il fut le seul à répondre aux ordres de l’Empereur qui est désormais la risée de l’Empire, même les plus petits seigneurs ne lui reconnaissent plus d’autorité.
L’année se termina sur un coup d’éclat. En effet, l’Empereur du Ponant, Jean Ier renonça à toute appréhension sur les terres de Bohème et il les légua au désormais Duc de Franconie et de Bavière et Roy de Bohème. Le mandat de l’Empereur Maximilien Ier se termine cette année, il laisse un Empire morcelé et sur le point d’éclater, les princes sombrent dans les luttes intestines et un rien causerai la fin de l’autrefois glorieux Saint Empire Romain Germanique.

En Ibérie, le Roy Jean est déjà revenu de son exil, et la Reyne de Castille lui rendit ses terres pacifiquement, aucun heurt n’eu lieu et le peuple Portugais (enfin, les portugais sont juste des espagnoles plus poilus hein !) accueillit son Roy en héro. L’évêque de Lisbonne re couronna celui-ci Roy de Portugal. La première chose que fit le Roy fut de destituer tous les nobles qui soutenaient l’envahisseur Espagnole et de donner leurs terres aux Bourgeois et à la noblesse qui lui resta fidèle même pendant son exil.
Le Nord Ouest de la Castille, vide de toute garnison, fut annexé par le Royaume d’Angleterre, qui y fit débarquer ses troupes. Les dites troupes ne commirent aucune exaction sur les terres ibériques et elles investirent pacifiquement les villes et villages. Les raisons de cette soudaine attaque restent inconnues. Le Pape s’est exprimé de la sorte : « Ranafout du bordel Espagnol, Constantinople doit tomber ! »
La Reyne déchue de Navarre, elle, s’exila à Rome, sous la protection du Saint Père. Et la Castille assure aux nobles et au peuple Navarrais que le retour de leur Reyne est proche.
Et comme on s’y attendait, le Roy Ferdinand d’Aragon débarqua en Espagne à la tête d’une nouvelle armée. Plusieurs centaines de milliers d’hommes accompagnés de centaines de canons et d’un contingent de nobles prirent pied dans les terres autrefois Aragonaises. Du moins, c’est à la tête d’une armée comparable que serai arrivé le Roy d’Aragon si ses navires n’avaient pas rencontré une coalition de navires et Français et Castillans et Pontificaux. Les bâtiments Aragonais sombrèrent en nombre et ce sont des troupes démoralisées, épuisées et amoindries qui arrivèrent en Espagne.

La nouvelle se répandit vite, et presque partout, le peuple Aragonais se souleva pour son Roy, attribuant à la Reyne de Castille des dénominatifs tels Catin ou vendue, presque partout car les efforts de la dite Catin lui permirent de gagner en popularité un peu partout. Les maigres garnisons Castillanes furent dépassées et perdirent peu à peu le contrôle des villes. Mais les armées de la Reyne n’en eurent cure, et allèrent à la rencontre de Ferdinand le Catholique. Les auparavant conjoints se firent face, cette fois ci, la bataille se jouerait uniquement entre Espagnoles. Les forces Castillanes comptaient prés d’un demi-million d’hommes. Cette immense armée était toute fois moins entrainée et moins armées que les troupes Aragonaises. Il semblerait que cette fois ci, le nombre l’emporta. Car la bataille fut un véritable massacre, sans ordres distincts, l’artillerie Aragonaise eut une efficacité proche de la nullité, et la couteuse cavalerie se lamina sur les lances Castillanes. Toute fois, l’armée Castilla connue de lourdes, très lourdes pertes, et l’on ne compte que quelques dizaines de milliers de survivants. Ferdinand le Catholique, lui, mourut d’une balle en plein thorax, et ses terres, sans chef, sont en proie à l’anarchie, les faits présagent de longues guerres de successions. La Reyne de Castille doit à présent pacifier son royaume et éviter les foudres du Vatican, de nombreux souverains ont déjà revendiqué les débris de la Couronne d’Aragon.

A Gênes, le Doge a donné un discours, destiné au peuple, il y disait : « […] En cet année, Dieu a appelé notre peuple à une grande mission. […] Nous aurions pu partir au Nouveau Monde. Nous en aurions ramené d'immenses richesses, certainement […] La croisade Génoise s'élancera de notre ville-monde, dès le mois prochain. Nous irons sillonner la mer, et combattre les musulmans.»
Le Doge de Venise, lui, voyant sa fin proche, a décidé de baisser les impôts et de faire appelle à l’Eglise pour calmer le peuple. Peuple qui accueilli avec joie la nouvelle du retrait des troupes Ottomanes de la région Vénitienne qui fut annexée par le Calife. Les troupes Ottomanes emportèrent toute fois tous les objets de valeur qu’ils trouvèrent.

La Khan, dans son désire d’assurer sa souveraineté sur ses terres, fit bâtir une colossale et très couteuse muraille le long de la frontière entre les terres de la Horde et l’Empire du Ponant. Désormais, c’est un édifice de pierre quasiment infranchissable qui se dresse entre les deux factions. Le Khan se sentirait il à ce point menacé ? D’autant plus que de nombreux campements et avant postes fleurirent le long de la frontière entre le Khanat et la Principauté de Moscovie, ou du moins ce qu’il en reste.

Le 1er Juillet, ce n’est pas moins de 4 armées mongoles qui entrèrent dans les terres de l’Empereur Jean Ier. L’opération « voie du massacre » avait commencé, et d’un côté comme de l’autre, le pire était attendu. Près de 400 000 Ponantais menés par Alexandre, le prince héritier, étaient en position, la première bataille eu lieu le 5 Juillet. L’Armée d’Alexandre et celle du général Sheykh Ahmed, d’environ 30 000 hommes, se faisaient face. L’énorme supériorité numérique et le meilleur entrainement des troupes ponantaises vinrent à bout en moins d’une heure de la maigre armée Mongole. Après cette facile victoire, les troupes du Prince héritier avaient le moral au plus haut point, et les soldats racontaient déjà leur victoire à la façon des bardes.
Une semaine passa avant que les deux factions ne se rencontrent à nouveau. Les deux armées des généraux mongoles Quais et Themudhun avaient fait jonction, et à la tête de leurs 120 000 hommes, ils chargèrent l’armée ponantaise sous le feu du Ponant nourri par plusieurs milliers de canons. 70 000 Ponantais périrent dans la charge, mais l’armée Mongole, qui subit une charge de cavalerie de dos, fut anéantie, les deux généraux périrent d’un boulet de canon et d’une balle dans la tête, Alexandre, lui, fut blessé au bras et piétiné par l’infanterie lourde du Khanat, son avenir reste incertain. Alors que les soldats vainqueurs pensaient leurs plaies et se reposaient, le 23 Juillet, la dernière armée d’invasion du grand Khan, forte de 80 000 hommes et dirigée par le général Mahmoud, se présenta non loin du campement d’Alexandre. Bien qu’épuisés, les troupes du Ponant étaient motivés par leurs deux écrasantes victoires précédentes, contrairement à la horde d’or, dont les soldats étaient apeurés et craignaient la mort. 330 000 âmes s’opposaient à nouveau sur les champs de bataille, bataille qui allait décider du sort du trône de Jean Ier, acquis dans le sang. Cette fois ci, l’armée mongole avança lentement vers la position ponantaise, constituée à la va vite. Harcelée sur les côtés par les tirs d’Arquebuses et de dos par la Cavalerie, les troupes du Khan se massèrent en un groupe compact. Firent alors feu les couleuvrines ponantaises, provoquant la débandade des troupes Mongoles, qui furent massacrés par les cavaliers. Toute fois, les 40 000 fantassins Djihadistes de l’armée continuèrent leur marche et s’entrechoquèrent avec l’infanterie d’Alexandre. Mieux entrainée, cette dernière vint à bout des hommes du Djihad. Ce fut la 3eme et dernière victoire Ponantaise de ce que l’on appelle désormais « le Juillet des morts » , avec plus de 400 000 morts, Le Juillet des morts est l’une des plus sanglantes bataille de l’histoire.

En Hongrie, la bataille de l'année se fait pressentir, des armées croisées formidables venant du récent Empire du Ponant voient déferler devant eux les armées djihadistes de l'Empire Ottoman, plus de 800.000 soldats s'écoulent sur la plaine.
L'Empereur lui même décide de mener son armée tandis qu'un général Ottoman lui fait face. En nations civilisées les états majors des deux partis se rencontrent au milieu du champ de bataille pour demander la reddition de l'armée ennemie, proposition évidemment refusée par les deux camps.
Ayant déjà formé son armée de manière défensive, l'Empereur Jean Ier se place avec ses troupes sur une bute de terres, les armées Ottomanes s'avancent alors et c'est une pluie de plombs qui tombent sur les assaillants.
Le combat est un formidable carnage et les troupes musulmanes tombent comme feuille morte, mais les innombrables fantassins lourds ottomans prennent peu à peu le dessus et viennent à bout de l'artillerie et de l'infanterie légère ponantaise.
Suite à une charge de cavalerie, les fantassins combattant pour Allah flanchent finalement, les croisés en viennent à bout et c'est une mêlée sanglante qui s'organise, la ligne de bataille est complètement brisée, chacun lutte pour son dieu et sa vie.
Finalement, c'est la cavalerie qui jouera l'atout final, celle Ottomane plus nombreuse parvient à défaire celle du Ponant et commencent à entourer l'armée ennemie, les forces plus nombreuses du Général Ottomane parviennent finalement à bout de l'armée ennemie après d'âpres sacrifice. On dénombre 765 000 cadavres dont l’Empereur du Ponant et ses 400 000 croisés.
Malgré la victoire, la mine est affreuse dans le camp Ottoman, les débris de l'armée se regroupent finalement et continuent la marche vers l'Empire et ce n'est plus que 60.000 hommes composés en grande partie de fantassins légers qui forment l'ensemble de l'armée Ottomane, armée qui s’arrêtera finalement au nord de la Hongrie, qui est presque réunifiée.

Dans le Grand Nord, les souverains s'activent aussi, l'Union de Kalmar entreprend ainsi la levée d'une armée rejointe par l'armée de la Capitale. Unie et forte de 120.0000 hommes elle vient marcher sur les terres du Grand Prince. Grossière erreur, ce dernier venait quant à lui de rassembler la majorité de son aristocratie et de sa noblesse dans sa cavalerie qui vient finir cueillir l'armée de l'Union en plaine. Les aristocrates fulminent et viennent charger sans stratégie, aucune, les rangs des Scandinaves. C'est une véritable boucherie, la charge massacre les rangs des nordiques et annihilent l'armée en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Les seules pertes du prince Moscovite sont elles dues à l'artillerie venue soutenir les rangs vaincus. Les pertes sont énormes du côté de l'Union de Kalmar, il n’y a aucun survivant, mais finalement l'armée uniquement composée de cavaliers lourds entrainés du Grand Prince a subis un lourd revers et perdent 10.000 d'entre eux sur une armée effective de 16.000 hommes.
Au même moment, le Prince de Psovk, l’un des princes russe ne reconnaissant pas l’autorité du Grand Prince de Moscou, déclara la guerre au dit Grand Prince. On dit qu’il aurait été motivé par des fonds venant du Ponant transportés par des Moscovites et sous les ordres du grand Khan. Dans cette formation triangulaire, personne ne sait qu’est le vrai et qu’est le faux.

Le Grand Prince envoya en parallèle son infanterie dans l’Empire du Ponant, après une longue série de victoire, les troupes du Ponant épuisée viennent à la rencontre des armées du Grand Prince Moscovite. Devant les vétérans pour la majorité polonais et lituaniens se trouve une armée frêle et peu expérimentée. Ne voulant pas briser une telle série de victoire les troupes du Ponant s'alignent et attendent que les armées moscovites s'approchent. Peu sur, les Moscovites s'avancent finalement et viennent au contact sous une pluie de balles et de boulets qui réduit déjà considérablement leur armée. Le reste parvient cependant à infliger un petit revers aux troupes plutôt expérimentées du Ponant, la victoire reste tout de même à l'avantage du Ponant et la cavalerie légère impériale vient chasser les derniers fuyards du Grand Nord. C'est une victoire écrasante, 50.000 pertes pour le Ponant contre 240.000 pour le Grand Prince. Cette dernière et 4eme victoire marqua l’inviolabilité du Nord du Ponant.

le premier jour où les inquisiteurs envoyés par la Papauté arrivèrent dans le Ponant, ils furent victimes d’une cécité généralisée et momentanée. Alors qu’ils cédaient à la panique, des cris, des abominations et des pleures se firent entendre de partout, des violences à l’encontre des inquisiteurs aveugles suivirent les lamentations, on retrouva même certains clercs violés, d’autre énuqué, tous dirent que cela ne peut être que l’œuvre du sans nom.
Par la suite, tout le long de leur voyage, les inquisiteurs rencontrèrent des gens de toutes conditions, certains leur parlèrent avec effroi de la journée de ténèbres et des horreurs qui leur sont arrivées ce jour là. D'autres parlèrent des actes horribles qu'ils auront vus perpétrés par des nobles, ou des étranges nuées de sauterelles, de mouches et de grenouilles qu'ils ont aperçues, sans oublier les eaux changées en sang et la peste du bétail. D’ailleurs, les inquisiteurs se retrouvèrent souvent confrontés à des grenouilles, crapauds et reinettes qu'ils trouvent partout : Sur leur chemin, sur les murets, derrière les portes, dans leur lit, dans leurs vêtements, dans leur sac, dans leur nourriture ... Par ailleurs, tout au long du voyage ils furent sujet à diverses hallucinations, faisant paraître réel le plus mauvais déguisement d'Halloween. Sur les domaines de certains nobles l’inquisition retrouva des lieux d'horribles sacrifices. Les inquisiteurs retournèrent à Rome horrifiés et traumatisés, impuissant face à l’incommensurable engeance satanique de l’Empire du Ponant.

Après ses nombreuses victoires, le prince héritier Alexandre du Ponant, rétabli suite à sa blessure au combat, fut couronné par le primat de Pologne Empereur du Ponant, succédant ainsi à son frère, mort face aux Ottomans.

En ces temps de troubles, de nombreux seigneurs ont suivis l'appel du Pape. Ainsi, les armées de la chrétienté ont fait route vers Constantinople afin de rendre à la cité sa foy d'autrefois.
Passant par les terres ou la mer, les croisés ont choisis des chemins bien différents. Le Roi de France, lui, a préféré passé par la terre avec un ost formidable de 300.000 hommes, le Pape ayant préféré les voies maritimes, et bien que bien plus petites que les nations Occidentales, a tout de même envoyé près de 150.000 hommes. Le Doge de gênes quant à lui avait apparemment abusé de substances peu recommandables car c'était les îles vénitiennes qui étaient prises pour cibles, bien heureusement, ses conseillers le lui firent remarquer et l’armée changea de cap.
Et le Doge de Venise est allé, à la tête de son armée d’environ 150 000 hommes, à pied et en direction de Constantinople. Et enfin le Roy d’Italie concentra une conséquente armée d’environ 350 000 soldats. Ce n’est donc pas moins d’un millions de croisés qui prirent la route de Constantinople au début de l’an.

Les armées papales débarquèrent en Grèce, ou elles ne rencontrèrent aucune résistance, les prés d’un million de Catholiques de la région furent laissés en paix, mais les « infidèles musulmans », eux, furent sujet à un massacre. On ne compte plus le nombre de civils sans vie laissés dans le sillage des Saintes Armées, annexant toutes les terres et dévastant fermes et villages. L’Ost français fit route en chariot jusqu'à la frontière Ottomane, ou il continua à pied, ravageant lui aussi les terres musulmanes. Toutes les armées croisées arrivèrent finalement à leur destination, à la surprise générale, aucune n’a rencontré une quelquonque forme de résistance armée. Le siège de la ville est en cours et la moitié de l’Empire Ottoman n’est plus sous le contrôle du Calife. La population est inquiète et doute de son avenir, paradoxalement, plusieurs milliers de musulmans fuirent vers les terres des Vassaux Moldaves et Hongrois qui, un an auparavant demandaient l’aide Ottomane.

Dés le début de l’an, le Calife des Ex Vassaux Ottomans proclama son « Empire » Califat Abasside, marquant par là son indépendance pour de bon. Le Calife Abasside a même décidé d’être très indépendant, et pourquoi pas de se convertir au Catholicisme. C’est que, voyez vous, les troupes abassides se mirent en marche et pénétrèrent en terres Ottomanes par le Sud, vides de défense ici aussi, avançant prudemment vers Constantinople, elles annexèrent toutes les terres qu’elles traversaient sans rencontrer d’opposition, pillant les terres d’autres musulmans. En parallèle, le Califat Abassi fit don de nombreuses pièces d’or aux régions à l’Est de la Palestine, en reconnaissance de quoi, les dites terres le rejoignirent sous l’étendard « De la libération des musulmans de l’oppression Ottomane » .
Assaillit par les Chrétiens, trahis par les siens, sans hommes, l’Empire Ottoman se trouve en une bien mauvaise posture. Serai ce le début de la fin ?

Demain ou après demain