Concour de poésie:

Un 13
En français,il fallait faire la suite d'une scene de Cyrano.En monologue,en rime et en alexandrin et j'ai eu un petit 16

Met ton poème que l'on puisse le juger

Tibère a écrit:

Met ton poème que l'on puisse le juger

Tu parles à moi?

Byzas le Divin a écrit:

Un 13
En français,il fallait faire la suite d'une scene de Cyrano.En monologue,en rime et en alexandrin et j'ai eu un petit 16

Je ne crois VRAIMENT PAS que ta/ton prof ait les mêmes exigences que la mienne, de plus je sui en Seconde avec un an d'avance, je sais pas pour toi...

En seconde aussi.Avec cette même prof j'ai 9 de moyenne en français...

ah oui, en effet...dire que j'ai eu une des meilleures notes avec cette poésie...

Allez, stop HS.

Je rappel que votre poème doit Porter sur la Mort.

La mort vient pour me prendre maintenant,
Pour dépouiller la chair des os.
Le sang s'écoule mes veines.
La mort est venue pour me prendre maintenant ;
Pour prendre mon âme vivante.

La mort l'a est des griffes dans moi,
Déchirant, peau de déchirure des os.
Le sang qui se renverse ;
Flaques sur le plancher,
Il est le mien, mon sang, ma vie.

La mort vient pour me prendre maintenant,
Laisser seulement l'agonie,
Remplir espace vide est parti,
par lui est le chemin de l'affaiblissement.

La mort, il vient pour prendre,
Mon âme vivante,
Pour dépouiller la chair de mes os,
pour ne me laisser rien,
Mais affaiblissement putréfié.

Je participe ! Il faut envoyer le poème par MP au Conseil ?

Je crois que les juges devraient souligner l'importance des articles, des pronoms, ou à défaut, de la ponctuation.
Parce que là...

@ Dhorinel: Comme là fait ton camarade Tomadobro, tu peux poster ton poème directement sur le topic.

@ Canmore: Nous acceptons tous les poème du moment qu'il porte sur la Mort. Ceux qui ne respecte aucune règles élémentaires auront cependant moins de chance de gagner que ceux qui font des efforts.

Perso, un poème bourré de faute, je ne pense pas lui donner la moyennne.....


Celtiktom, ton poème c'est très bien mais....... totalement HS pour moi

oui, mais je l'ai posté juste avant qu'il y ait de sujet annoncé

Tu es venue hier,
Frapper à côté.
Moi qui t'ait tant aimé,
J'ai peur de cet air.
Cette sensation de vie,
Qui me prend, m'étreint ;
Les éternels demains,
Et le Paradis.
Viens chez moi, je t'en prie,
Comme une voisine.
Je suis dans la cuisine,
Pour entendre ton bruit.
Nul téléphone, bien sûr,
Pour t'appeler là.
Il me faut, c'est donc ça,
Un couteau bien dur.
Mort, ma mie ! Mort, ma vie !
Viens et emmène-moi.
Dans des beaux draps de soie,
Je m'en vais d'ici.




Voilà, un petit poème fait sous le coup de l'inspiration... En pseudo-distiques élégiaques, histoire de faire classe. Et savant, en plus !

Serait t'il possible que le Conseil se réunisse dés demain ? Byzas vous expliquera ce qu'il y a à traité dans cette première séance. Lorsque vous aurait finis, Byzas postera sur ce topic les finalité de vos travaux. Je vous remercie !

J'ai donné le point de rdv aux autres membres du conseil.

Donne le à moi aussi

Tu y es deja

Douce bise qui me rafraichit tant,
Que tu sois Kirk, Eole ou bien Thor,
O douce bise qui survit aux temps,
Que j'aimerais enlacer ton corps,
O douce caresse subtile du vent,
Reviens à moi toi qui fuit le nord,
O fuyard qui en devient dément,
Mais tu y reste de l'aube à l'aurore,
O élément que je chérie tant,
Mais tu y reste pareil à la mort.




Voila un petit truc fais en une petite demi heure. ^^



EDIT: C'est un poéme qui concerne l'Angleterre.

oulà vous êtes fort Moi et poème sa colle pas

c'est le seul domaine en cours ou je suis fort avec le théatre
:oK:

Un petit artiste ^^

Dans un ton mi post-dramatique, mi néo-classique, tri rèmancart-tonvivlédécéres, voici ma contribution :

Ecoutez donc l'histoire, d'un forum assiégé,
Par des gangs démoniaques, de trolls et de boulets,
Et l'ultime résistance, de modos et de membres,
Satan les vainquit et, en fit son antichambre.

Yohooooooooohoooooooooooowoooouwoooooooooooooo (chant d'une tristesse et d'un dramatisme infini qui s'éteint progressivement façon prisonnier Svanète)

Les légions de la mort, armés de "aimdéhair",
Brandissant les "flanbo" et dressant des "jybait",
Supérieurs en smiley, ces bouches de l'enfer,
Conquirent rapidement, la section "Colisée".

Yohooooooooohoooooooooooowoooouwoooooooooooooo - Lhydelhart est un noob hihihi

Un duel légendaire, ou Quendri et Udun,
S'affrontèrent très longtemps, mais sans vaincre pourtant,
Le vil pacte Faustien, que fit Quendri le Gland,
Le diable lui fit un clone, ça faisait donc deux clown.

Yohooooooooohoooooooooooowoooouwoooooooooooooo

Udun fut vaincu, et les braves défenseurs,
Restés seuls au palais, du triumvirat,
Contemplèrent déconfits, la fin de leur leader,
Et la terrible armée, de Quendri approcha.

Yohooooooooohoooooooooooowoooouwoooooooooooooo

La lutte fut formidable, la mort omniprésente,
Et les incantations de prophètes mythiques,
"Corrige ton orthographe s'il te plait" bien plaisantes,
N'eurent aucun effet et ce fut la panique.

Yohooooooooohoooooooooooowoooouwoooooooooooooo

Quand soudain vint Serguei, le grand l'immaculé,
Qui détruisit d'un doigt les cohortes maudites,
Qui tua d'un regard, El Quendri foudroyé,
Et instaura sa loi, ses usages et ses rites.

Yohooooooooohoooooooooooowoooouwoooooooooooooo

Mais nos chers défenseurs, ont il eu de la chance ?
Ne sont ils pas tombés sur un drole de mariolle,
Lors du premier discours il comprirent leur errance,
De tout ceux qu'il dira, son premier mot fut :"LOL" !!!

Yohooooooooohoooooooooooowoooouwoooooooooooooo

Ok! Nous vous rapellerons

Las, ils s'en sont allés,
Pour une nouvelle bataille,
Pauvres hères dépareillés,
Transis dans la grisaille.

Les cadavres sont légions,
Tout comme les charognards,
Ils s'entassent en monts,
La route du cauchemar.

D'innombrable ombres,
Furent ainsi massacrées,
Au sein des décombres.

Une sale tuerie,
Dulce et decorum est,
Pro patria mori.

Voila mon truc bien long et tout pourrit xD

Ho ! la douce matinée,
ho ! doux soleil d'été
Le brouillard se lève, tranquillement
Un peux pesant, mais encore caressant
Un doux courant d'air passe,
Il caresse, il se prélasse.
Il sourit bêtement aux fruits,
Mais ne fait aucun bruit.
Puis de mystérieux aléa,
L'approchant du combat,
Le mouvement d'air y entraîna un rameau d'olivier,
Qui dans un cratère d'obus vint avec tendresse s'écraser.
Sur une colline à l'écart du combat,
L'air inconnu s'assit et observa.
Se jeux humain l'avait toujours interrogé,
Mais il n'était pas la pour les questionner.
Il observa donc les balles siffler.
Puis s'écraser sur les mobilisé,
Comme une cerise trop mur,
Un rouge liquide, à se dur,
Contact giclait, et arrosait
La nature sèche qui en rêvait.
Sous le soleil désormais de plomb
Giclait les plombs et les lourds sons
De ces combat inutile, mais meurtrier
Qui sans aucune raison ce crée.
Attendant la fin du massacre
L'œil les observait débattre.
Quand tout fut terminer,
Les derniers tires échanger,
Se levant de la colline, la mort
Remplit sont labeur, pleine de remord.
Pourquoi se tuaient t'il ? Ils ont le temps
Mais non, ils ne savent pas tranquillement
Attendre que je vienne les embrasser.
Quand elle eux rempli son marcher,
La camarde s'envola, caressant les oliviers
Embrassant les fleurs, sous le soleil d'été
Pleine de tristesse, elle regagna ses foyers.
Plus bas un vieillard aveugle née,
Ayant senti se drôle d'air passer.
Se dit: c'est triste d'exister.
Depuis le début de ma vie j'en demande la fin
Et elle va chercher des jeunes qui ne veulent rien
Qu'elle est idiote cette mort à toujours allez chercher
Les jeunes qui ne demande qu'a vivre pour l'éternité.
Sur ces mot sa femme arriva. Ton fils est décédé
Lui apprit elle, complètement affolé.
L'homme encore plus lasse de sa vie,
Chercha en tâtonnant son fusil.
Un pruneau mit fin à ses jours.
Et l'homme s'endormit, pour toujours
Plusieurs jours plus tard, tous étaient enterrés.
Sur la tombe du vieillard, des fleurs avaient pousser
Comme sur la fosse communes ou les soldats amasser
à la hâte puis de terre recouvert, a jamais oubliez
Nourrissait eux aussi désormais les fleurs.
C'est alors que la camarde, en pleur.
Comprit enfin en quoi consistait sa propre vie.
La mort n'est rien, tout n'est que renaissance.
Et dès lors elle s'acquitta de son travail avec aisance.
Les gens ont peur de la mort, mais ont il raisons ?
Ne sommes nous vraiment fait que pour quatre saison ?
Car après tout de quoi ont il peur ?
Tous ont peur de ce qui la précède, la douleur !
Ils ont peur du vide, qui est sensée la suivre
Mais comment savent t'il qu'il ne vont point y survivre ?

Au moins, moi, même si c'est pitoyable, je n'y aurais pas passé 30 ans.

Mais moi non plus xD
15 minutes ^^

Bon, je me rassure, tous ceux qui trouvent leurs trucs pitoyables ont fait des poèmes géniaux.


Donc le mien révolutionnera la poésie tellement je le trouve nul !

{Ior el} a écrit:

Byzas, je te nomme Président du Conseil car je te connais bien et je peux facilement te joindre. Il faudrait d'ailleurs plus de Conseillers !

En attendant que l'équipe approfondisse le règlement du Concours et que l'on trouve un Président, je l'organiserais de manière provisoire.

Dites vous que cette première édition n'est rien de plus qu'un petit apéritif. Le véritable Concours commencera lorsque tout sera en place.

Pré-Concours d'Art Littéraire

Président {Ior el}

Conseil d'Art Littéraire Byzas, Tibère, Wissemaster ...

Participants Luis Daoiz, Celtiktom, Arkantos

Thème Poésie // Sur la Mort

Durée de l'édition 4 jours.

Date limite des remises des Œuvres Samedi 17 à 16 Heure.

Samedi 17 ? on est dimanche 18 !!! Les résultats !!