[RTW] Pour la gloire de Rome

Voilà, je me lance pour mon premier récit !

Préface : ce récit n’est pas historique du tout. Il s’appuie seulement sur l’hypothèse que pendant la 2eme guerre punique, Carthage assiège Rome. Aussi, le prénom « Will « est bien sûr inapproprié a l’époque mais voulut. Le texte se passe a peut prêt aux environ de 210 avant JC ...

Chapitre I

La nuit s’allongeait. Le ciel assombrissait le visage des soldats. En haut des murailles régnait un silence de mort. Plusieurs hommes étaient debout, mais la plupart essayés de dormir. Un centurion s’approcha d’eux :
- Ne vous endormez pas ! Surveillez-les !
Un homme se releva :
- M’sieur l’sergent, m’lgrés tout l’respect qu’vous doit …
- Si vous avez du respect pour moi, alors suivez mes ordres !
Sur ce, tous les hommes se tinrent debout, scrutant par delà les remparts ...

Will se réveilla. Quand il ouvrit les yeux, il vit ses frères d’armes courir vers les remparts.
- Qui... Qui a-t-il ?
Un optione lui répondit en lui envoyant ses armes :
- Si tu es un homme, il est temps de le prouver !
Le jeune homme prit les armes, alla sur la muraille puis, malgré la foule de soldats armé et le manque de temps, il se surprit à contempler le paysage. Si il y avait quelques années, le paysage rayonnait de sa beauté, les Carthaginois l’avait brulé. Plus rien ne subsistait. Plus de collines verdoyantes. Plus de marchand souriant en approchant de la Capitale.
Rien.
Plus que de cendres grisâtres et de sombres baraquements remplis de soldats ennemis. Rome n’était plus ce qu’elle était depuis son siège.
- eh ! Tu rêvasse ? Rejoins le fronton et dépêche-toi !
Sans savoir qui l’avait brusquement tiré de ses rêveries, Will s’élança vers la porte Nord. La Porte. La seul qui restait encore debout. Il fallait la défendre goutte que goutte.
Il rejoint son centurie. Même en sous-effectif - elle comptait 60 hommes -, cette dernière pouvait faire de gros dégâts dans les rangs Carthaginois. En effet, les soldats étaient prêts à se sacrifier pour empêcher le pilage de la ville et la mort de leurs proches. Will en
Ce matin là, apprit Will en entendant une conversation, que les Ennemies avaient commencé des mouvements de troupes. Sans doute l’objectif était-il de lancer un assaut. Ce serait un des 50eme depuis le début du siège, il ya 6 mois. Les effectifs, des deux camps étaient de forces égales, dix légions romaines contre 50 000 carthaginois, et les pertes, de 500 hommes environ dans chaque camps.
Un optione hurla alors :
- La République romaine doit rester ! Et ce, qu’elle qu’en soit le prix ! Votre sacrifice sera grand, mais les conséquences encore plus grand ! Pour la liberté !
En chœur, tous les légionnaires rugirent cette dernière phrase. Ils tirèrent leur glaive et répétèrent la phrase.
Mais les Carthaginois continuaient d’avancer.
Un pas après l’autre.
Poussant leurs machines de sièges.
Ces créatures qui terrorisent Rome !
Les soldats s’apprêtaient au combat. Lentement, ils empoignèrent leurs javelots et, au signal, le lancèrent. Les traces noires dans le ciel s’abattirent dans leurs rivaux dans des cris de mort. Du sang coula. La haine ne se fit que plus forte entre les combattants.
La deuxième ligne avançait quand même, rejoins par les survivants de la 1er. Mais elle rejoins elle-même la 3eme, fuyant les javelots et la mort.
Et ce, jusqu’au moment où les tours de siège parvinrent aux remparts. Alors, la tension monta d’un coup. Les javelots – les restants – fusaient avec plus de puissance et de précision. L’agressivité passait dans ces armes.
Les engins de siège abattirent leur « portes » à quelques mètres de Will. Ce dernier, fort de quelques assauts, n’était pas sûr de pouvoir survivre a cette assaut. Mais Jupiter en décidera.
Soudain, les carthaginois apparurent. Les « bêtes », n’étaient pas si atroces que ca : leur armure, en fer, n’était pas si différente de celle des romains. Ni même leur glaive. Mais le casque était quelque peut différent. Plus rond, mais à la fois plus carré. Il faudra les tuer. Tous.

Chapitre II

Le centurie de Will avança.
Lentement, mais sûrement.
Les "autres" aussi.
D'un ordre tacite, plusieurs hommes chargèrent, pendant que les derniers javelots se plantèrent dans les corps de quelques carthaginois.
Les premières gouttes de sang s'écoulèrent.
Soudain, tous les hommes chargèrent en même temps. Will sortit son glaive et voulut assener un grand coup de glaive dans le corps de son adversaire. Son arme percuta l'armure du combattant, et ce dernier lui répondit en lacérant la poitrine du jeune homme - forte heureusement, protégé par son armure. Le carthaginois changea alors d'adversaire. Will put alors regarder le combat.
Le massacre était partout : une épaisseur de cadavre recouvrait le sol de pierre, un homme se prit la lance d'un carthaginois dans l'oeil, ses cris se perdaient dans ceux des autres hurlements.
Will recula quand il entendit un soldat lui dire, dans son dos :
- Ouais, va y recule, tu peut que nous boucher la vus ici !
Honteux, le jeune soldat se précipita vers la mêlée. Il donna un grand coup de glaive dans un soldat - Par chance, ce dernier fut touché au nez, il tomba, sans doute inerte ...-, pour revenir en faisant un " revers " pour toucher l'épaule d'un carthaginois, en lui frôlant une partie de peau non couverte par son armure. Sur ces entrefaites, il reçut un grand coup a l'épaule qui l'ébranla. Il recula de quelque pas, avant de voir son agresseur et une dizaine d'autres soldats s'écraser par terre, entourés de poussières. Will releva la tête.
Juste a temps.
Un boulet enflammé volait droit sur lui. L'artillerie ennemie ! Il se mit a courir et parvint à éviter le boulet lui retomba derrière lui dans un choc terrifiant. Alors, il perdit conscience ...

QG de Rome. Mardi 22 avril. 21 heures. Les nouveaux consuls entrèrent dans la pièce. une pièce froide, dénudé de vie, de décor : meublé seulement d'une grande table, ses murs étaient gris, la lumière était pâle et obscure. Maximus Claudrop et Glaudum Sinyt saluèrent les généraux assis sur la table et s'assirent a leur tour. Maximus commença :
- Messieurs, venons en aux faits. Pour ceux qui ne le savait pas, nous nous trouvons dans une situation très inconfortable : alors nos armés au sud sont déjà occupés par Carthage et ne peuvent donc nous libérer, Rome doit affronter de plus en plus d'assauts. D'après quelques experts - dont Rictus Klidus ici présent -, la situation est critique, du fait que Rome ne pourra tenir plus de 8 mois, si les assauts continuent à cette cadence.
Le général Titus renchérit :
- Surtout qu'ils ont sortis leurs onagres aujourd'hui ! Avec ces armes, nous avons perdu une centaine d'hommes, mais surtout la Porte !
Un murmure se propagea autour de la table. Maximus le questionna, apeuré :
- Quoi ? La Porte ? C'est impossible !Comment a t-elle put être détruite ?
- Oui la Porte. Réduite en morceau par quelques boulets d'onagres. Nous avons dû détruire tout le fronton pour pouvoir empêcher les carthaginois d'entrer.
Un murmure d'approbation suivit ses paroles. Glaudum prit la parole :
- Comment allons nous faire ? S'ils nous tuent une centaine de soldats par jour, en ... disons quelques mois nous serons tous morts !
- En quelques semaines vous voulez dire, rectifia Rictus. S'ils peuvent nous tuer des soldats sur les murailles, pourquoi ne détruiraient-ils pas la ville ?
Titus abattit son poing sur la table :
- Nous devons les éliminer !
- Un peut de sang-froid s'il vous plaît, le calma Maximus. Nous pouvons faire quelque chose encore. Sont-ils a porté de nos archets ?
- Non, répondit Titus, mais nous avons de l'artillerie qui pourrait les détruire.
- Pas assez précis, lança le général Firos
Un silence suivit la réponse.
- Mais ... hésita Firos
- Oui mais ? L'exhorta Glaudum
- Si nous montions une opération spéciale ... ?
- Et risquez de mettre a l'eau notre opération ? Lui répliqua Maximus
- Si nous ne faisons rien, il n'y aura plus rien a gouverner !
Silence
- Soit, annonça Glaudum, soit. Il faudrait alors un seul homme, digne de confiance !
Silence
- Je crois que j'ai notre homme, proposa Titus, d'ailleurs, il a été muté il y a quelques heures a la surveillance de ce bâtiment.
Il interpella un esclave :
- Faites venir mon neveu. Et en vitesse.
l'esclave disparut par une porte dérobée aux regards, et revint quelques minutes plus tard.
Avec Will.

Désolé Argon, ton récit a l'air bien mais je ne suis pas d'humeur à lire pour le moment...

T'as mom tiesse m'fieu ? Trop bu d'la veille ? T'inquiète biloute, t'es point seul, créfieu !

intéressant, avec de bonne descriptions, bien joué, argon!

Chapitre III

Titus l'invita à s'asseoir :
_ Will, viens, nous avons à parler d'une ... disons ... grande expérience.
Le jeune homme s'assit, encore surprit. Maxilum le dévisagea :
_ Mais ... tu est jeune !
A Will de répliquer :
_ Soit, mais j'ai déjà tuer une vingtaines d'hommes, reçus une douzaines de blessures, et je suis jeune ?
_ Bon, bon, commençons, coupa Titus.
_ Est ce que tout le monde - sauf Will et Titus - pourraient quitter la pièce.
Seul Glaudum posa une question :
_ Même moi ? je suis con...
Maxilum eut un hochement de tête :
- Je pense ... qu'il ne faudrait pas ... disons ... bouleverser notre jeune homme.
Glaudum hésita, puis s'exécuta.
La salle se désemplit rapidement. Quand tous furent partirent Titus commença:
_ Écoute Will : notre mission est d'une importance capitale. Je pense que tu connaît notre situation dans Rome et dans l'Italie. mais ce que tu ignore c'est notre position politique. Les deux consuls - dont voila un - n'ont plus de pouvoir. Si cela continus, il y aura un coup d'état. nous devons ou empêcher ceci, ou offrir a Rome une meilleure politique. C'est ce que nous allons faire : nous allons créer un Empire et nommer Maxilum Empereur.
_ Mais pourquoi pas un autre ? Questionna Will
_ Car il est consul. Mais l'autre consul, Glaudum, est largement soupçonné de marchander a Carthage des informations militaires. Un traître ne peut commander ce pays.
_ Et ma ... grande expérience.
Là, Maxilum prit la parole :
_ Voit-tu, les onagres sont une menace très ...
Will comprit tout de suite :
_ Vous voulez que j'aille les détruire ?!
_ euh ... oui. Cette nuit vers 23 heures. Tu ira avec Glaudum.
_ Et tu devra l'assassiner, ajouta Titus. Ne t'inquiète pas, c'est un traître, il mérite la mort. Tu le tuera devant les onagres, pour faire croire que les carthaginois l'ont tués. Juste après tu mettra le feu aux 5 onagres. puis tu rentreras.
_ Avec les carthaginois aux trousse ? répliqua Will
_ Mais non ! Il ... il n'y en aura pas beaucoup, l'adoucit Maxilum
_ Mouais ... mais bon, je vous fais confiance !
Titus sourit :
_ Et maintenant, rejoins Glaudum. Il doit être dans son bureau, il t'expliquera comment cela se passera. Mais pas un mot sur l'assassina. Maintenant, va !
Will partit a son tour.
Maxilum jeta un regard noir a Titus :
_ Et maintenant le gamin sait tout ! Il va tenir sa langue pendant quelques mois mais après ... paf !
Titus lui adressa un sourire :
_ Tu crois qu'il survivra ne serait que ce soir ? les carthaginois ne vont pas le rater. Demain matin, deux lits seront libres...

Chapitre IV

La nuit tombait. Les hommes étendaient leurs jambes sur les créneaux, et leurs têtes contre le sol de pierre.
Glaciale.
La nuit était glaciale, comme chaque nuit d'ailleurs, mais Octix ne s'y habituais pas. Même lui, un ancien Gaulois. Recruté de force - la guerre ou la mort -, il surveillait attentivement le camp carthaginois, cette brume obscure qui entourait les baraquements empêchait de bien voir.
* Ah, maudits carthaginois ! Ici, je perd mon temps ! *
Soudain, une torche s'alluma dans le camp.
Puis deux qui s'avancent.
Puis 5000, épées a la main.
Deux ombres avancèrent discrètement contre la muraille. Elles contournèrent la ville et s'arrêtèrent devant le fronton Nord. La porte était grande, même immense. Les tours étaient majestueuse. C'était beau. Mais ce que les ombres ne virent pas c'étaient d'autres ombres.
Des torches.
Des millier de torches.
Des carthaginois
Des millier de carthaginois.
Octix donna l'alerte. En quelques secondes, les murs se remplirent de 2689 piquiers, de 6125 fantassins légers, de 778 archets et 52 artilleurs. Les hommes étaient impatients. Les flèches volaient. Pour une flèche qui arrivait a atteindre le haut des murailles - haute d'une dizaine de mètres - et touchait un soldat romains, 5 flèches touchait un soldat carthaginois.
C'était un massacre.
Les hommes reprenaient espoir. Mais cette espoir ne dura pas : des boulets vinrent se fracasser contre les murs. Même ces murailles ne résistèrent pas :des bouts tombaient. Alors, les hommes ...
Ils volaient.
Ils s'écrasaient.
Ils hurlaient.
Le massacre recommençait, mais de l'autre côté.
Will et Glaudum virent l'assaut. ils durent faire un long détour de près de 1 km, ce qui les mit en retard pour la suite. Le jeune nageait dans sa sueur. Ils couraient. Alors que Glaudum ne devait se douter de rien, Will caressait son poignard : un manche en bois, une lame de 15 cm en fer. Prête tuer n'importe qui ...
Maxilum et Titus étaient seuls dans les appartement de Titus, discutant, quand ils apprirent l'assaut. Maxilum s'exclama :
- Il est temps qu'ils détruisent les onagres ! Ce sera sûrement dans environ une heure. Et là, contre-offensive; on les repoussera jusqu'au limite des Alpes ! On aura une ...
Il regarda Titus . ce dernier avait l'air apeuré :
- S'il y a un gigantesque assaut donc ... il n'y a plus de garde du baraquement. Donc les onagres ne seront pas surveillés. Et Will ... survivra.
- Par Jupiter ...

Quelque petite erreur historique quand même: A cette époque les carthaginois n'avait aucune arme de siege.

Si si, les carthaginois avaient des armes de sièges! Va te renseigner sur!

Non je te parle pendant la deuxième guerre punique. Iol n'avai pas d'arme de siege, c'est d'ailleur pou cela qu'Hannibal à hésité de prendre Rome .

Euh ... on va dire qu'ils les ont piqués au romains :lol!:

Chapitre V

Camps Carthaginois, 23h

- Mon général, l'assaut a commencé
- Comment se passe t-il ?
Le lieutenant hésita :
- Plutôt pas mal, mais ..
Le général Rhyre l'exhorta a continuer, ce que fit le lieutenant :
- Je ne sais pas si ... enfin ... toutes nos forces ont étés mises dans cette assaut et si nous le perdons ..
Rhyre s'esclaffa :
- Mais nous avons nos onagres ! Nos précieux prisonniers tirent sur leur ancienne capitale. On leur a promis de l'argent. Après leur défaite a Capoue ils veulent être du côté des vainqueurs ! Ils ont le moral tu sais ! Ils veulent gagner !
Le lieutenant ne parut pas rassuré pour autant. Il maugréa un " Ah ! Si vous le dites ! " et s'en alla.

Murailles Nord de Rome, 23h30

Alors les tours de sièges touchèrent les murailles romaines. Les boulets d'onagres tombaient toujours.
En rythme.
S'il n'y avait pas eu de morts, on aurait crut a un déluge de feu, a un apocalypse joyeux, teinté de couleur orange.
Mais les cadavres formaient un tas.
Les bouches formaient un sourire. Le seul sourire désagréable.
L'odeur de sang remplissait les remparts.
Mais nuls ne baissaient les bras. Ils savaient tous que Rome était entre leurs mai. Que l'honneur était sur eux. Que la République comptait sur eux. Jamais ils ne baisseraient les bras. Les carthaginois virent aussi leurs frères d'armes tomber. Mais le moral n'était pas là : pourquoi attaquer Rome ? Pour la gloire ? Aucun soldat n'était prêt a mourir pour une telle gloire. Car chacun savaient que Rome n'était attaqué que par envie, par mégalomanie. En plus, chacun scrutait, quand ils le pouvaient le ciel : les boulets enflammés déchiraient le manteau sombre et s'écrasaient sur les murs, tuants aussi bien carthaginois que romains.
Rapidement, les carthaginois furent repoussés. la soif de sang des romains était a son apogée. Nul ne pouvait leur résister. La victoire était là, devant eux, a quelques morts de là, a quelques carthaginois de là. Oui, avancez soldats ! Tuez ! fatiguez vous ! Mais ne flanchez pas ! Tuez !!!
Une explosion.
Tous s'arrêtèrent.
Un onagres venait de couper une partie de la muraille.
Devant la plupart des romains.
Mais tout a coup, un deuxième boulet vint casser une partie de la muraille derrière les hommes. ce qui devait se produire se produisit : la partie centrale, retenue que par le sol, succomba a un boulet, le troisième maudit. Le mur craqua.
Une fois.
Puis il s'affaissa, tel un géant ayant besoin de repos.
Le mur s'allongea sur le sol, tuant les soldats dessus.
Romains.
Carthaginois.
Cinq cent personnes moururent, là, devant Rome.
Tant pour la Gloire que pour leurs familles; tant pour la République que pour la solde.
Mais la situation était tout autre sur les autres parties de la muraille. En effet, l'assaut nocturne avait été prévus pour trois côté : le nord ( là où se situait le camp carthaginois), mais aussi l'est et l'ouest.
Les Romains, forts de leurs équipements, de leur moral et de leur était-d'âme d'ultime espoir, avaient repoussés les carthaginois là où la cadence des boulets était beaucoup plus lente, où les cadavres étaient beaucoup moins nombreux.
Où les sourires étaient plus rares.

A l'arrière du camp carthaginois, 00h30

Will et Gladum continuaient à avancer. Encore lentement. A la suite de quelques heures a avancer, a faire des détours, à éviter les soldats carthaginois; ils arrivèrent a un bosquet.
Juste derrière les onagres.
Le camp était vide, tous les soldats étaient partis a l'assaut. Il y avait seulement les hommes servant aux onagres.
Mais Will avait été choisis pas au hasard. pas parce qu'il était le neveu de Titus.
Mais parce que il maniait l'arc comme personne. Il regarda Glaudum. Ce dernier, moins rapide, encocha quand même une flèche. Will l'imita. D'un signe de tête, ils tirèrent en même temps.
Deux gardes tombèrent. les autres ne servaient plus où donner de la tête. Ils avaient l'air fatiguer, et Will crut comprendre - a la vus des gardes montrant les cadavres et les murailles - que les soldats croyaient à des tirs venants de la ville. Quand il plissa les yeux, il discerna les soldats précisément.
Des romains. Oui.
Glaudum ne lui avait pas mentis, même si le jeune homme avait été surpris. Il se reconcentra sur sa tache.
Quand un cinquième soldat s'abattit sur le sol, un autre regarda le bosquet où ils étaient cachés. Il cria quelque chose aux autres et s'approcha, poignard a la main de notre cachette. c'est a ce moment là que Will eut conscience de la distance qui séparait le bosquet des onagres : pas moins de 10 mètres.
Glaudum, qui tirait toujours sur les autres soldats, remarqua alors celui venant vers eux. il fit un signe discret a Will et recommença a tirer. Ce dernier sourit, encocha, visa et tira.
Touché.
Sans état d'âme, il poursuivit sa besogne, a savoir tuer les soldats et surtout ceux qui approchaient de leur cachette. Ce système marcha pour le deuxième soldat, mais après, ce fut une vingtaine de combattants qui approchèrent du bosquet.
Will frémit. Mais pourquoi ? Les soldats qui servaient les onagres ne savaient presque pas combattre au corps-a-corps. Ça allait être un massacre !

ior el a écrit:

Non je te parle pendant la deuxième guerre punique. Iol n'avai pas d'arme de siege, c'est d'ailleur pou cela qu'Hannibal à hésité de prendre Rome .

Pas du tout, je te conseille de revoir ça. Bien sûr Hannibal, n'en possedait pas, pour une telle expédition c'était impossible, mais il y en avait, et puis, je suppose, que lorsqu'on attaque des villes autours de rome, on prends touts les équipements et vivres necessaires dont.......des armes de sieges!