[Nouveau MV] Hannibal contre Rome

- Le temps du repos terminé, Hannibal rassemble ses troupes et fait dresser les étendards. C'est le temps des adieux, Hannibal laisse derrière lui une ville et un ami au commandement de la garnison. Puis lentement l'armée se met en branle et traverse l'Etrurie...
- Les historiens s'interrogent toujours sur les raisons de l'inactivité romaine. La plupart s'accordent sur le fait que Rome ne pouvait ignorer l'approche d'une telle armée. Toutefois beaucoup estiment que le Sénat aurait sous-estimé les effectifs et les intentions d'une telle armée, confondant ce qui lui paraissait être une avant-garde avec la véritable armée qu'elle était.
- Hannibal longe Rome par le nord puis incline légèrement vers le Sud alors que le soleil est à son crépuscule. Seule la nuit et quelques kilomètres séparent les deux armées. Mais le degré de préparation les départage d'avance comme les Romains ne sont pas même alertés de ce voisin encombrant.
- Au petit matin l'armée carthaginoise fond sur les campements romains. Les soldats de la République sont désemparés et les Espagnols pénètrent quasiment sans résistance dans les fortifications romaines jusqu'à la fin de la matinée. Les pertes logistiques sont déjà énormes et dans sa progression l'armée d'Hannibal met la main sur de précieux équipements et de nombreux fuyards.
- La défense romaine s'organise peu à peu comme Flaminius rameute ses hommes. Vers la 5ème heure de la journée le centre romain s'élance contre des carthaginois désorganisés par leur avancée et tiennent en respect les valeureux espagnols une heure durant. Sur les flancs la débandade s'accélère et les éléphants arrachent les tentes dans une confusion extrême. Enfin les deux cavaleries se précipitent l'une contre l'autre. il s'agit là pour les carthaginois de gagner tout à fait la victoire, pour les romains d'atténuer la défaite.
- C'est un massacre dont bien peu de romains réchappent. La cavalerie numide ressort vainqueuse de sa première confrontation avec la cavalerie romaine. En danger par cette nouvelle défaite, le centre doit lâcher prise et fuir dans les bois. C'est là une terrible défaite toute imputable à l'arrogance romaine.
- Hannibal lance ses hommes pour rattraper les couards romains et en recouvre en effet beaucoup. Mais le reste de l'armée semble s'être retranché à Capoue et Hannibal sait le bénéfice qu'il aurait à éliminer tous les soldats romains d'Italie. Son armée marche sur la ville et campe devant ses murs sans encore se résoudre à en faire le siège.

- Hasdrubal Barca, frère cadet d'Hannibal et commandant en chef des armées d'Espagne, a désobéi aux ordres du Sénat et marché sur l'Italie en vu d'y rejoindre son frère et d'y mêler son armée à la sienne. La progression est rapide et les pertes peu nombreuses. C'est en effet là un chemin connu et les guides sont plus surs... En quelques mois l'armée est déjà à Marseille.

- Les difficiles mois d'hiver passés, Publius Scipion rassemble ses hommes et met en marche son armée dans des contrées plus que jamais hostiles. Les tribus barbares du nord ont en effet recouvré leurs territoires d'antan et formé une ligue pour bouter tout à fait Rome de la plaine du Pô. Partout sur le territoire règnent des bandes de brigands et nulle part la loi de Rome... Le consul mènera son armée là ou on le laissera la mener, pourvu que tous en réchappent.
- Mais partout ou elle passe l'armée est suivie et épiée par de sombres regards. Les barbares se font de plus en plus nombreux à l'horizon et les marques d'hostilité toujours plus prononcées... Il n'est nul doute que les gaulois s'excitent et se rassemblent à la pensée du combat.
- L'assaut a lieu alors que l'armée proconsulaire traverse une dense forêt. L'embuscade gauloise surprend une armée romaine une nouvelle fois prise au dépourvue. Le choc parait inégal mais la qualité suppléant à la quantité, les légionnaires romains repoussent vagues après vagues les assauts des gaulois. A la fin de l'après-midi la situation devient toutefois critique comme les lignes sont inégales et les hommes fatigués. C'est le moment que choisi P.Scipion pour tenter sa dernière chance.
- La défense rendue impossible, le proconsul opte pour l'assaut général sur les positions gauloises. La surprise est totale dans le campement gaulois et le massacre sans nom. Jamais si peu de romains n'avaient tués autant de gaulois, et jamais si nombreux gaulois n'avaient trouvé si ignominieuse sépulture. A la fin du jour c'était là un succès sans précédent pour Rome. 20 000 hommes avaient conquis 50,000 autres.
- Affaiblie par la fatigue et sans ravitaillement, l'armée romaine doit renoncer à son plan initial et détourner son chemin des riantes contrées du sud. Pressé au Nord par les Boiis et au Sud par Carthage, Rome n'a plus d'autre chois que de traverser les Alpes pour échapper à ses ennemis.
- C'est alors le paroxysme de l'été et les neiges ont fondues. Les chemins sont praticables, l'armée passe.
- Dans la plaine du Rhône, deux armées en progression tombent par hasard l'une sur l'autre. Elles établissent respectivement leurs camps sur les rives opposées de la rivière.

- Les armées macédoniennes ont traversées sans déclaration de guerre la frontière qui séparaient leur royaume de celui de Rome. Toutes les villes sont tombées à la simple vue des phalanges.

- Devant les récents succès carthaginois, le Sud de l'île s'est révolté et à renouveler son vœu d'allégeance à son ancien maitre, Carthage.

- Il paraitrait que le sénat Carthaginois est furieux de l'abandon de l'Espagne et de l'insubordination de la famille des Barcides. Le divorce est de plus en plus manifeste.
- Le marchand qui avait troqué sa fortune contre une place au Sénat s'appellerait Kados. Il aurait fondé le parti du tout à l'Afrique au Sénat du peuple de Carthage.
- La défaite acquise et la honte endurée, Flaminius s'est donné la mort dans les murs de Capoue.
- Un sénateur aurait fondé le parti de la paix au sénat Romain. Celui-ci réclame l'ouverture de négociations et s'enquerre des conditions carthaginoise. Certains des sénateurs commencent ainsi à se faire à l'idée de rendre la Sardaigne et la Corse ignominieusement volées il y a 20 ans à leurs anciens propriétaires.
- Une nouvelle armée à été levée au sud de la botte de l'Italie et encore loin des troupes d'Hannibal.

- Depuis les montagnes de l'Atlas où ils étaient cantonnés depuis un an, les romains ont surgi et ont enfin levé l'étendard de guerre. C'est là l'armée consulaire rescapée de la tempête : sauvée des eaux par la providence, sauvée des mains carthaginoises par les numides, puis ravitaillée et habillée par le hommes de Siphax, celle-ci prend le chemin du nord et pénètre en terre carthaginoise. pour la première fois de la guerre, le conflit est porté chez l'agresseur. Le chemin est délaissé, les Carthaginois ne se doutent point d'une telle menace : et bientôt l'armée d'Afrique est aux portes d'Hippo Regius. Le siège paraissait être une fatalité, mais les habitants de la ville surent se montrer fidèles à leur réputation : comme lors de la guerre des mercenaires, ceux-ci saisissèrent l'occasion de s'affranchir de la loi de Carthage. On négocia donc la reddition de la ville et on éleva la ville au rang d'allié du peuple romain.
- La nouvelle fait trembler tout Carthage. Le Sénat est consterné, sera-ce là le lot de tous les alliés africains de Carthage? On envoie des émissaires à Utica et les nouvelles sont bonnes : la ville ne se rendra pas.
- L'armée proconsulaire de Titus Longus continue son avancée vers Carthage qu'elle atteint à la fin de l'hiver. Les soldats mettent alors le siège devant la ville. Des murs de la cité, on observe avec nervosité les préparatifs romains. Le siège parait rigoureux et les techniques romaines innovantes et efficaces.
- Dans l'ouest, Siphax, roi de Numidie Occidentale, montre en fin son vrai visage et l'étendue de sa perfidie. Il prend possession des colonies carthaginoises éparpillées sur son territoire et préparé à son tour une armée. L'avenir s'annonce bien sombre pour Carthage.

- Hasdrubal parti pour rejoindre son frère, la province est délaissée et abandonnée aux bandits et aux brigands. C'est l'opportunité que voit Torquatius pour porter la guerre en Espagne, dans le royaume même des Barcides et les riches provinces des sénateurs. Après un discours flamboyant, son armée prend la mer et atteint sans encombre l'embouchure du Thader. La flotte carthaginoise aurait pu intervenir, mais celle-ci était par trop réduite pour avoir une chance de l'emporter
- A peine débarquée l'armée consulaire s'installe et fortifie ses camps. Puis on prend la route du nord et de l'est ou les bourgades carthaginoises tombent l'une après l'autre. A la fin de l'hiver Torquatius a réussi à tailler en Espagne un royaume de la taille d'une province romaine.

- Les deux armées se font face et le désir de combattre est évident dans l'un ou l'autre des camps. Seul le Rhône les sépare encore, mais la cavalerie numide ne tarde pas à trouver un gué plus au nord. La bataille peut commencer.
- L'armée romaine est consciente de l'imminence de l'assaut et n'a pas chômé durant les jours qui précédaient. Les obstacles à la progression carthaginoise sont nombreux et les pièges tout autant. A peine arrivée sur la terre ferme l'infanterie espagnole tombe dans de vaste fossés armés de pieux. Les ruses romaines ne font pas tant de dégâts en soi, mais gênent considérablement l'avancée carthaginoise et la cohésion de la troupe.
- Quand l'infanterie africaine arrive au contact, l'assaut carthaginois se résume à des vagues désordonnées et peu propices au succès : Hasdrubal en est conscient et prépare en arrière de l'assaut l'élite de ses troupes pour un assaut décisif.
- Jusqu'ici les troupes pro-consulaires de Publius Scipion ont la main sur la bataille. Leur expérience acquise depuis le début du conflit leur a appris les rudiments de la guerre et la ténacité au combat. Mais bientôt le plus dur arrive : Hasdrubal lance son assaut.
- Le choc est dur pour les deux armées. La première ligne romaine est brisée sur le coup, mais les triariis relèvent la ligne et résistent à l'ennemi. Sur les flancs la ridicule cavalerie carthaginoise se fait hachée par la bien plus nombreuse infanterie montée romaine. Les régiments carthaginois sont menacés d'encerclement et de déroute. Rome parait bien être sur le chemin de la victoire.
- Mais les renforts se font de plus en plus nombreux dans le camp de l'assaillant. On n'espérait plus une telle aide divine : c'est là les espagnols laissés au cours du périple d'Hannibal. Les plus faibles de ses soldats, les moins endurants, qu'on avait laissés à la garde de Massilia. Ils viennent respecter leur engagement et laver leurs fautes.
- Les nouvelles troupes sont lancées sur le flanc droit de l'armée pro-consulaire qui ne peut faire face à un tel nombre d'homme. Ici un romain combat 3 carthaginois, et même si le courage et l'expérience romaine permet de tenir quelque peu, les pertes en viennent à être nombreuses et la cavalerie ne peut plus rien faire : c'est la débandade.
- L'armée romaine sera traquée dans les bois environnant une semaine durant. Si bien que tous furent pris et amenés en captivité dans les murs de Massalia. La fortune est mauvaise car ceux-là même qui étaient proches d'un grand succès furent touchés par le désastre. L'armée d'Hasdrubal, amoindrie, reprend le chemin de l'Italie. Elle entre maintenant en terre gauloise et anciennement carthaginoise. Les sommes qu'elle doit payer pour traverser les défilés sont exorbitants mais c'est là la nouvelle loi gauloise.

- Hannibal est au fait des préparatifs romains dans le sud de la péninsule. Ne voulant pas que les deux armées se rejoignent pour l'affronter en toute égalité, il pense pouvoir les écraser toutes deux en combats séparés. Le siège est donc levé, l'armée prend la route du sud.
- L'hiver rend plus doux le climat du sud de l'Italie. L'armée est protégée des épidémies, les populations sont plus dociles. Tous préfèrent ces contrées riantes aux sombres campagnes du nord. Le contingent arrive bientôt au Bruttium ou l'attend de pied ferme la nouvelle levée romaine. C'est là un ensemble hétéroclite de soldats et de paysans, de vieux et de jeunes, de vétérans et de novices. L'armée carthaginoise est sûre d'elle.
- Le choc a lieu près d'un petit bois du nom d'Estafe. Le choc est extrêmement rude, plus rude que jamais Hannibal ou les romains n'ont jamais eu affaire. La topographie empêche les deux armée de s'affronter en rang, les escarmouches se multiplient et dans les deux camps les pulsions se montrent au grand jour : on se bat avec les mains, avec des pierres, on tue sans pitié et avec plaisir. C'est la confusion la plus totale, la bataille se déplace lentement vers le bois et les ordres n'arrivent plus. Les régiments sont livrés à eux même et doivent survivre dans une mêlée gigantesque.
- Dans de telles circonstances les talents de tacticien d'Hannibal ne peuvent pleinement s'exprimer et la bataille semble se faire tout seule. Celui-ci fait avancer les éléphants et les préparent à l'assaut. Il s'agit de briser les rangs, amis ou ennemis (Ba'al reconnaitra les siens) là ou ils sont les plus forts pour enfin remporter l'avantage.
- Les pachydermes sont lancées et embrochent les fuyards africains. Mais au moment d'arriver au contact les bêtes se font littéralement empalées par de gigantesques lances de près de 4 mètres de long. Les pertes en animaux sont lourdes, la majorité des éléphants font alors leur amok: les bêtes deviennent furieuses et incontrôlables, piétinant sans distinction les deux armées. La confusion est alors à son comble.
- Mais la supériorité numérique carthaginoise et l'infériorité d'expérience romaine commencent peu à peu à faire autorité. Les carthaginois progressent et les romains reculent à grandes pertes. Quand tombe la nuit, la bataille est finie, l'armée d'Hannibal a vaincu. Le reste de l'armée romaine se désagrège mais une partie parvient à gagner la toute fin de la péninsule. Elle gagne alors la ville de Messina ou elle tiendra au siège de Philippe (put*** de transition )

- L'armée de Philippe II de Macédoine débarque sans encombre après un périple de quelques jours en Mer Adriatique. C'est là une terre bien grecque pour un seigneur macédonien, et bien propice aux conquêtes pour un homme plein d'ambition. Son armée se présente devant les murs de Lilybaeum qui lui ouvre le plus naturellement du monde ses portes : la cité n'a pas oublié sa filiation punique et sa haine envers le pouvoir de Rome. Tous chantent la grandeur de Philippe, et de par toute la Sicile on s'émerveille de la beauté de ses phalanges.
- Dans sa grande magnanimité Philippe rend à Carthage ce qu'il dit lui appartenir de droit : et en effet Lilybaeum revient au pouvoir de Carthage et sa province est rétablie. Quelque uns diront qu'elle était de par plus grande par le passé, mais ceux-là même oublient que Philippe n'avait point de devoir envers Carthage et que c'est là le fruit le plus naturel de sa grandeur. Son armée reprend le chemin de l'est et soumet progressivement l'ensemble de la Sicile.
- C'est alors le moment qu'il choisit pour porter la siège devant Messina. Cette ville contrôle en effet le passage vers la péninsule, et envers les terres grecques et les terres de droit latin. Mais le siège ne progresse pas comme il l'espérait, ses phalanges sont inutiles devant les hauts murs de la ville et l'ennemi refuse le combat en plaine. Les rescapés du Bruttium entendent bien que le macédonien se casse les dents dans un assaut qui ne peut qu'être désespéré.
- Et bien vite le macédonien doit en effet lever le siège de la ville. Quitte à faire un siège, le roi préfère que celui-ci lui donne une ville puissante et un nouveau trône : de nouveau le siège se porte maintenant devant Syracusae et ses redoutables murs.

- L'armée romaine encerclée et sans chef se réveille un beau matin libre de toute sortie : l'assiégeant est parti et n'a point laissé de contingent. De par toute la ville on s'affaire alors, tous les soldats préparent leurs affaires et règlent leurs dernières dettes. On s'assure bien qu'il n'y ait point là une ruse toute punique, mais le constat apparait de lui-même, aussi surprenant soit-il : la route est libre et sûre, l'armée romaine peut partir de cette cité décidément hostile. Toute l'armée se met en branle, seul quelques manipules restent pour s'assurer de la loyauté de la ville. Bientôt les murs de Rome apparaissent et toute l'armée laisse éclater sa joie : l'espoir disparu, la providence a supplée au désastre imminent. Les soldats entrent dans la ville ou ils se mêlent à la garnison.
- A Capoue on se félicite du départ de ces hôtes encombrants. La ville n'a jamais cachée ses sentiments anti-romains et a depuis toujours cherché un moyen de s'affranchir de l'autorité de Rome. Bientôt un futile évènement lui laissera l'opportunité de s'y appliquer.
- Une révolte servile éclate dans les murs de la cité. Les esclaves se soulèvent et tuent quelques uns de leurs maîtres. Mais la rébellion est très vite un échec comme les esclaves ne parviennent pas à s'emparer des portes et à sortir libres de la cité. Les brigands sont encerclés, faits prisonniers, et victimes des plus grands supplices et tortures dont la tradition s'est faite garante. La pensée même qu'une révolte d'esclaves ait pu se produire ainsi dans la cité et que l'autorité romaine ait été aussi lente à réagir amène les plus riches à réexaminer le vœu d'allégeance à Rome. Dans la nuit du 27 février, la cité fait défection, la garnison est massacrée et jetée du haut des murailles. Les émissaires du sénat Capouan se présente alors d'eux même à Hannibal pour lui présenter les clés de la ville. Néapolis, cité voisine, reste pour le moment fidèle à son engagement.

- La nouvelle confédération gauloise a levé une armée depuis ses plus profondes contrées du nord jusqu'à ces plus puissantes tribus. La nouvelle armée cherche alors à emporter la cité de Patavium, clef de la partie orientale de la province. Mais la cité résiste, les gaulois sont inhabiles aux travaux de siège.

- Le Sénat carthaginois serait en proie aux plus grandes inquiétudes. La faction fidèle à ... réclame le retour immédiat d'Hannibal en Afrique pour sauver la cité. Le parti du tout à l'Afrique gagne du terrain dans les rangs de l'assemblée.
- Le Consul Torquatius aurait envoyé des émissaires à tous les tribus d'Espagne en les appelant à la défection. C'est en tout cas les dires des Lusitaniens, fidèles alliés du pouvoir carthaginois en Espagne.
- La rébellion en Sardaigne serait sur le recul, faute de soutiens effectifs de la part de la métropole qu'elle soutient.
- Une révolte servile aurait aussi eue lieu dans les murs de la Ville Éternelle. Même si l'échec est aussi au rendez-vous, l'évènement ne finit plus d'inquiéter et de faire parler la populace.
- La dysenterie se serait déclarée dans les quartiers de la garnison à Rome. L'eau parait trouble.
- La faction propice à la paix avec Carthage serait sur le recul dans le Sénat à cause des récentes victoires mais en nette progression au sein du peuple.
- Le Sénat carthaginois a fait en catastrophe une levée en Espagne, près de Gades