1871 : Gloire a votre Parti !

Voyant les élections municipales arriver, le Vlaams Verbond, par l'intermédiaire de ma personne tenait à présenter ses candidats.
Tout d'abord, je serais moi même, Maurits van Duynkerke, candidat aux élections municipales de Lille. De plus, un candidat du Vlaams Verbond se présentera aux élections municipales d'Amiens, M.Marcel Varanghem.
Vous vous demanderez sans doute pourquoi un parti flamand présente des candidats ailleurs que dans la région Nord-Pas de Calais. Ce choix est motivé par le fait que de nombreux picards/chti's et autres patois du Sud du Département du Nord-Pas-De-Calais et de Picardie ont montrés une certaine sympathie pour nos idées, et il nous a semblé logique qu'ils puissent être représentés. Évidemment, il n'est PAS question d'intégrer la Picardie dans un État Flamand, mais nous nous sommes rendu compte qu'à cause du plus grand maux de la France : la centralisation, beaucoup d'habitants de cette régions ne parlent même pas le Français, mais plusieurs patois spécifiques à cette région. A terme, nous comptons rendre la Picardie indépendante, rassemblée dans un État couplé avec le Sud de la Région Nord Pas de Calais, tandis que la Flandre s'unirait à la Belgique et aux Pays-Bas. M.Varanghem est évidemment originaire de Picardie, et il vit à Amiens. Il parle ch'ti, flamand, et plusieurs patois picards. Il a donc la carrure pour représenter la Picardie et le Vlaams Verbond !
En Flandre, je serais donc moi même candidat aux élections municipales de Lille et je compte sur tout votre soutien.
Amis ch'tis, camarades Flamands, bientôt il faudra faire un choix ! Votez Flamand, votez régional, votez pour l'Union !
Eendracht maakt macht !

Maurits van Duynkerke,
Billet paru dans l'Eendracht, journal officiel du Vlaams Verbond.

Spoiler:

Affiche de propagande du Vlaams Verbond pour les élections municipales.

Alors que les élections arrivent bientôt, Thomas Toussetac a tenu à présenter un véritable manifeste du fédéralisme français: De la République Fédérale Française

DE LA REPUBLIQUE FEDERALE FRANCAISE

Préambule
[…] Il apparaît évident qu'avec la montée des nationalismes en Europe, l'incompétence du gouvernement de Paris devant la débâcle en Alsace-Moselle et les aspirations régionales de plusieurs de nos contrées devant les tentatives tenaces de parisianisation des cultures dites « minoritaires »; le gouvernement centralisateur qui est celui de la France depuis plus de trois siècles n'est plus valable. Et pour préserver l'écosystème républicain, une France unie derrière une république démocratique et préservée de toutes sécessions, il est nécessaire que la jeune IIIe république soit un gouvernement fédéral.

Les raisons de mon combat pour le fédéralisme.
Parce qu'il me semble évident que la clef du bonheur terrestre réside dans le respect, la tolérance et l'acceptation d'autres cultures (d'autant plus lorsque ces cultures appartiennent à nos frères); il m'apparait intolérable de voir que le mot « Égalité » de la devise de mon pays est bafouée par un gouvernement qui impose sa culture aux autres pays; il m'est intolérable de voir que l'instruction (qui est une légitime fierté, en France) se voit entachée par l'absence de respect qu'elle prodigue aux cultures « minoritaires. » Est-ce là ce que Marianne doit faire à ses fils et à ses filles? Je ne le crois pas.
Alors dans ces conditions, une France fédérale me semble plus à même de respecter les cultures de chaque « province » de notre République.

Cela ne risque-t-il pas d'affaiblir la France?
Indubitablement, la réponse est non: une France fédérale ne veut pas dire une France coupée de ses bases, cela ne veut pas dire une France qui a perdu ce qui est la France. Une France fédérale, c'est une France qui respecte mieux les aspirations de chacun. C'est là le rôle de la République.

Quelle nouvelle structure administrative pour la France?
La Région autonome me semble la plus appropriée. Celle-ci serait dotée d'un parlement propre, d'un gouvernement régional en tout point semblable à celui du gouvernement national (à l'exception de quelques ministères, par exemple.) Les « Régions autonomes » une représentation à l'Assemblée Nationale.

Quels seraient les pouvoirs aux mains des gouvernements régionaux?
Gérer leur politique intérieure, d'abord; étant donné que le fédéralisme est d'accord pour dire qu'un gouvernement de proximité est toujours plus à l'écoute des locaux. Ainsi, la « Région autonome » pourra se doter de sa propre constitution (si celle-ci n'enfreint pas la « Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen »), de son propre Parlement et possèdera un budget qu'il gèrera seul. Ces compétences toucheront des domaines aussi divers que les taxes, le commerce intérieur, l'industrie, l'agriculture, la pêche, la chasse, l'éducation, l'environnement, le bâtiment. Seul la Défense, les Affaires étrangères et les Colonies resteront des éléments supra-régionaux.

Quels seraient les contre-pouvoirs de ces gouvernements régionaux?
Ils ne seraient pas nombreux, étant donné que nous pensons qu'ils sont à même de comprendre mieux que nous les attentes de leurs citoyens. Cependant, tous les six mois, les Ministres-présidents (Présidents des gouvernements régionaux) devront rendre des comptes au Président du Conseil et au Président de la République. De plus, des « Directives Nationales » votées à l'Assemblée Nationale seront les seuls textes de lois (en plus du Code Pénal et de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen) à être immuables.

Publié dans Le Quotidien Social, qui vient d'ailleurs d'ouvrir une autre succursale à Paris

A l'annonce de la proximité des élections voici les annonces du parti de Blanqui

Le Cri du Peuple, journal officiel de la Section Française de l'International des Travailleurs (SFIT), se voit doter d'une nouvelle devise par son comité de rédaction : "La liberté de la presse ne s'use que s'il on ne s'en sert pas". Par ailleurs, ce même comité annonce que le prix de vente d'un exemplaire du Cri du Peuple sera identique à son coût de fabrication, faisant de ce journal le premier à "ne pas s'engraisser sur le dos de ses lecteurs".

De plus, la SFIT annonce l'ouverture d'un bureau du Cri du Peuple à Rennes, Lyon, Montpellier et Orléans afin de pouvoir diffuser le journal partout ou le parti compte avoir des candidats

"Par ailleurs je fait une solennelle demande à M. Thiers d'amnistie générale pour tous les anciens Communards. En effet les condamnations à mort ou les arrestations nous empêche de présenter un certain nombre de candidats pour les élections à venir. Sans cette loi d'amnistie nous nous verrions contrains d'utiliser des procédés peu démocratique pour diffuser nos idées, M; THiers doit donc prendre une décision sans tarder"

Extrait de l'article "liberté pour tous" rédigé par Blanqui paru dans le Cri du Peuple.

Ces différentes décisions font suite aux réponses parvenue à Louis Auguste Blanqui suite à sa Lettre ouverte aux membres de l'Association Internationale des Travailleurs. De nombreux anciens communards membres de l'AIT et exilés ont fait part de leur désir de revenir dans leur régions respectives "afin d'organiser la lutte des prolétaires pour les prolétaires". La liste est la suivante :

Jean Louis Pindy (menuisier), membre de l'AIT ancien élu de la Commune de Paris actuellement caché : pour la ville de Rennes
Jules Guesde (journaliste), membre de l'AIT exilé en Italie suite a une condamnation pour des articles soutenant la Commune : pour la ville de Montpellier
Edouard Vaillant (enseignant), secrétaire de l'AIT ancien élu de la Commune exilé en Angleterre : pour la ville d'Orléans
Camille Camet (canut), membre de l'AIT communard exilé en Suisse : pour la ville de Lyon

La SFIT annonce par ailleurs que son candidat parisien sera Louis Auguste Blanqui dont la réputation n'est plus à faire.

"Notre volonté d'exporter la lutte des travailleurs en dehors de Paris se traduit par la présentation de candidats dans d'autres régions de France. Nul doute que les travailleurs verront avec plaisir des hommes d'expérience et non pas des théoriciens venir défendre leurs intérêts, d'autant plus que ces hommes connaissent le terrain étant tous originaires de la région voire de la ville dans laquelle ils se présentent"

Extrait de la "représentation des intérêts des travailleurs lors des élections municipales" publié dans le Cri du Peuple et écrit par Jean Louis PIndy.

Des tracts présentant le candidat local et l'orientation politique de la SFIT sont distribués à la sortie des usines et des universités et des discours sont prononcés par ces différents candidats dans leur ville respective.

Le gouvernement accorde une amnistie général mais au moindre faux pas le parti sera dissout

Frères Corses !

Comme toujours, je ne vais pas vous ennuyer avec un long discours pompeux ; je ne vais pas vous promettre des monts et merveilles.
Je ne vous promets qu'une chose, l'indépendance, au plus tôt ! La Corse doit vivre libre, et non sous l'échine d'une France colonisatrice, ou d'une Italie qui ne l'est pas moins !

La Corse peut, la Corse doit être libre. Je ne dirai rien d'autre, ô peuple Corse, mais je t'encourage à voter pour moi aux élections. Et si la France n'accepte pas de nous donner notre liberté, nous irons la chercher !

Bref discours électoral d'Ange-Dominique Paoletti, devant la mairie d'Ajaccio.

Extrait de "La thèse Bretonne" écrit par Ailvin Wolback, président du "Renouveau Breton".

Demandez le "Journal du Renouveau", présentation du président du parti "Renouveau Breton" aux élections municipales de Rennes !

Citation :

Clamons Haut et Fort que la Bretagne doit revenir aux Bretons, et lutterons pour qu'enfin le peuple breton puisse être libre !
Votez "Renouveau Breton" pour le bien de la Bretagne !

Parisiens, l'échéance électoral est proche. Bientôt le choix de la futur municipalité sera entre vos mains. Méfiance ! Des mélodies vous parviennent déjà aux oreilles : ne les écoutez pas, elle sont belles, mais trompeuses. Toute homme suffisamment sot pour se distraire par ces chants, subira le même sort que les marins de l'odyssée, attirés par les ténébreuses sirènes. Vos oppresseurs tentent de vous séduire, nous ne l'avons que trop répété. Ces tromperies en cascade sont pour vous une insulte, une injure abject : pensez-y, on vous prend pour un troupeau d'ovin et les moutons, on les traite comme tel. Pour mieux vous rendre compte de la supercherie, nous vous invitons à lire les articles titré "réaction au discours de Cottereau" et "les mensonges continues" publiés dans la Tribune d'Antoine.
De notre coté, nous as-tu déjà entendu proféré de belle promesse, nous as-tu vu t'éblouir par des mots charmeurs ? Non, nous avons constamment été honnête avec toi, parce que nous croyons sincèrement en ta grandeur et que nous espérons chaque jours ton bonheur. Fais confiance aux Jacobins, héritier des patriotes de la liberté, tes véritables amis.
Ne prête pas attention aux idées grandiloquente mais fallacieuse des fanatiques monarchistes ainsi qu'aux idées chimériques de quelques farfelues...
Hais de tout ton coeur ces individus vandales, qui veulent détruire la France, notre patrie, en la divisant ou pire, en l'amputant de certain territoire, pour sois-disant répondre aux caprices innocent de leurs populations. Il ne peux n'y avoir qu'une France unique, qu'un seul peuple sous la gouvernance de la félicité. (...)

Début d'un nouveau discours de Fareihn publié dans la Tribune d'Antoine

La SFIT se réjouit de la mesure prise par le gouvernement d'amnistier tous les Communards encore vivant. Nombre d'entre eux ont d'ailleurs prit contact avec le parti et ont fait par de leur volonté de participer à l'organisation des luttes du prolétariat. La SFIT est donc en mesure d'annoncer la présence de nouveaux candidats lors des élections municipales tout en restant dans l'optique de se faire élire les candidats dans leurs régions ou ville d'origines "afin d'organiser la lutte des prolétaires pour les prolétaires". Se présente donc sous l'étiquette de la SFIT :


Alexis Louis Trinquet (cordonnier) élu au Conseil de la Commune : pour la ville de Lille
Augustin Avrial (ouvrier mécanicien puis soldat) élu au Conseil de la Commune et commandant de la Garde Nationale : pour la ville de Toulouse
Frédéric Cournet (journaliste) élu au Conseil de la Commune et chef de Bataillon de la Garde Nationale: pour la ville de Nantes
Charles Longuet (journaliste) élu au Conseil de la Commune et Chef de Bataillon de la Garde Nationale : pour la ville de Caen
Eugène Gérardin (peintre en bâtiment) membre de l'AIT élu au Conseil de la Commune : pour la ville de Nancy
Camille Langevin (tourneur sur métaux) membre de l'AIT et élu au Conseil de la Commune : pour la ville de Bordeaux
Jules Vallès (écrivain, journaliste) élu de la Commune : pour la ville Clermont Ferrand
Auguste Serraillier (cordonnier) secrétaire de l'AIT et élu de la Commune : pour la ville de Marseille
Emile Eudes (libraire) capitaine de la Garde Nationale : pour la ville du Havre
Gustave Courbet (artiste peintre) élu au Conseil de la Commune : pour la ville de Besançon
Jean Baptiste Geresme (ouvrier chaisier) élu au Conseil de la Commune et membre de la Garde Nationale : pour la ville de Reims
Jean Jacques Pillot (écrivain, journaliste) membre de l'AIT et élu au Conseil de la Commune: pour la ville de Limoges

Par ailleurs le comité de rédaction du Cri du Peuple annonce que Jules Vallès est reconduit à son poste de directeur, en tant que fondateur, qu'il avait dû abandonner suite aux évènements de la semaine sanglante. Le Cri du Peuple sera aussi diffusé dans toutes les villes ou se trouve un candidat de la SFIT grâce à la création de bureau du journal dans chacune de ces villes. Ceci est facilité par la présence de journaliste dans les rangs de nos candidats.

"Le droit de se syndiquer c'est le droit pour tout travailleur de se voir défendu contre les abus des patrons, de voir que son combat pour le progrès social est soutenu. Toutefois ce droit est bridé par une loi datant de bientôt 80 ans dont les différents pouvoirs ont usés et abusés, je parle de la Loi le Chapelier qui depuis 1791 proscrit les organisations ouvrières et paysannes. Un premier coup a déjà été porté à cette loi ignoble, en 1864 le droit de grève est autorisé. Il ne reste maintenant plus qu'a autoriser la création des syndicats. C'est ce que je demande, et à travers moi la SFIT, au gouvernement français."

Extrait de l'article "Du droit de syndicat en France" paru dans le Cri du Peuple et rédigé par Léo Fränkel, membre de la SFIT communard et militant syndicaliste.

Les gens indiquez aussi dans vos action les candidats et dans la ville et il faut de l'argent pour c'est candidat car quand je vois arzgluf...

{Ior el} a écrit:

Parisiens, l'échéance électoral est proche. Bientôt le choix de la futur municipalité sera entre vos mains. Méfiance ! Des mélodies vous parviennent déjà aux oreilles : ne les écoutez pas, elle sont belles, mais trompeuses. Toute homme suffisamment sot pour se distraire par ces chants, subira le même sort que les marins de l'odyssée, attirés par les ténébreuses sirènes. Vos oppresseurs tentent de vous séduire, nous ne l'avons que trop répété. Ces tromperies en cascade est pour vous une insulte, une injure abject : pensez-y, on vous prend pour un troupeau d'ovin et les moutons, on les traite comme tel. Pour mieux vous rendre compte, de la supercherie, nous vous invitons à lire les articles titré "réaction au discours de Cottereau" et "les mensonges continues" publiés dans la Tribune d'Antoine.

Mais c'est une très bonne idée, ça, Monsieur Fareihn, j'approuve...Lisez tous la Tribune d'Antoine, Parisiens; car là est la véritable supercherie. Dans cette feuille de chou!

Citation :

De notre coté, nous as-tu déjà entendu proféré de belle promesse, nous as-tu vu t'éblouir par des mots charmeurs ? Non, nous avons constamment été honette avec toi, parce que nous croyons sincèrement en ta grandeur et que nous espérons chaque jours ton bonheur. Fais confiance aux Jacobins, héritier des patriotes de la liberté, tes véritables amis.

Oui, peuple de France, les Jacobins, tes véritables amis, qui, s'ils passent, te feront voir le coupe-cigare du Docteur Guillotin parce que tu n'as pas voté pour eux ou que tu n'es pas abonné à "La tribune d'Antoine" ! N'oubliez pas Robespierre, qui spolia la Révolution et fit vivre une ère de Terreur à la France, une véritable dictature; là où le peuple réclamait la Liberté. Sont-ce ses héritiers qui sont alors les plus à même de savoir ce que tu veux?!

Citation :

Ne prête pas attention aux idées grandiloquente mais fallacieuse des fanatiques monarchistes ainsi qu'aux idées chimériques de quelques farfelues...
Hais de tout ton coeur ces individus vandales, qui veulent détruire la France, notre patrie, en la divisant ou pire, en l'amputant de certain territoire, pour sois-disant répondre aux caprices innocent de leurs populations. Il ne peux n'y avoir qu'une France unique, qu'un seul peuple sous la gouvernance de la félicité. (...)

Je suis heureux d'apprendre que le Renouveau Breton, l'Union Flamande, le Parti Corse et le Parti Occitan ne sont que des enfants capricieux...encore une fois, on voit bien le paternalisme imbécile des jacobinards...

Mais les Français sont intelligents, ils comprendront que l'intérêt de la nation est dans le Fédéralisme.

Paru dans Le Quotidien Social

Nous nous sommes penché pendant de longues heures sur les différents systèmes politiques que le paysage politique français offrait.
Les monarchistes proposent une France unie sous une seul bannière, celle du Roi, Haute autorité suprême. Mais à l'heure ou le peuple a connu la souffrance, la terreur et a pris conscience des droits qui lui revenait, cet ordre peut il encore être viable ?
Les jacobins, eux, militent une France ouvrière et travailleuse, avec un peuple vidé de toute volonté et soumis à des "'égalitaires invétérés" autoproclamés.
Les militaristes se disent voués la reconstitution d'une France francophone et l'instauration d'un état-armée, ferme et dur, là aussi, le surplus patriotique est de mise, est ce vraiment ce que le peuple, dans l'intégrité de ses classes, souhaite ?
Quant aux communistes, qui veulent soumettre l'autorité nationale sur chaque parcelle, sur chaque maison, sur chaque industrie, nous pensons que leur utopie centralisée est un mal qui causera moult conflits dans l'avenir.
Viennent enfin les socialistes et les boravistes, tout deux favorables à plus d'indépendance, de marge de manœuvres et liberté aux régions et aux minorités culturelles. Nous nous disons évidement proches de ces deux mouvements, bien que la finalité des indépendantistes que nous représentons étant l'indépendance totale, la liberté pour les peuples de décider d'eux même.

Extrait de "La thèse Bretonne" écrit par Ailvin Wolback, président du "Renouveau Breton".

Citation :

Journal du Renouveau, 1ere édition

Breton, appelle avec moi, ceux qui disent te gouverner
Breton, montre avec moi, ce dont les fils de la Bretagne sont capables.
Breton, crie avec moi la douleur de ta terre.
Breton, lève toi.
Breton, clame ton désire.
Breton, lutte pour ta patrie.

Publication de "La thèse Bretonne", livre écrit par le Président du Parti et co-signé par l'ensemble des membres.
Disponible dans toutes les librairies bretonnes gratuitement pour les adhérents et sympathisants.

Grande marche Pour la Bretagne le moi prochain à Rennes, puis successivement dans toutes les grandes villes de Bretagne.
Toutes action violente est interdite et sera sévèrement réprimandée.

Présentation du Président du parti aux élections municipales de Rennes, soutenons le tous ensemble.

"J'entends parlé partout des indépendantistes, et des critiquent qu'ils infligent aux communistes. Je répondrais à ces gens que l'intérêt premier de la SFIT est de se battre pour les droits des travailleurs, pour leur donner le pouvoir sur leurs outils de travail. Nous ne sommes ni contre la propriété privée ni pour la centralisation du pouvoir. Si ces personnes connaissaient leurs "adversaires" ils sauraient que les communistes se sont constamment occupés de la question sociale et qu'ils luttent contre toutes les formes de gouvernement autoritaire et de droit divin, voulant que l'homme se gouverne lui-même selon ses besoins, à son profit direct et suivant sa conception propre. Ces luttes pour les travailleurs se moquent de l'appartenance géographique, elle sont internationales et doivent être menées à toute les échelles : celle de la nation, celle de la région et enfin celle de l'individu. Qu'importe à un travailleur d'être indépendant s'il vit toujours aussi mal ? En s'attaquant aux communistes les indépendantistes se trompent d'ennemis."

Extrait de l'article "De la question indépendantiste" paru dans le Cri du peuple et rédigé par Jules Vallès et Gustave Courbet.

Serge Borov, annonce officiellement que le parti Boraviste, ayant des idéaux régionalistes, extrème gauchistes et extrèmes droitistes, se sent l'allié de tout les partis se revendiquant de l'un ou l'autre. En revanche, il est une thèse sociale que nous n'accepterons jamais, c'est l'aristocratie ! Les hommes sont libres et égaux !

"Je ris de toutes ces classes politiques d’extrême-gauche à l'extrême-droite en passant par les monarchistes et les conservateur. Les politiques sont une classe du passé, ce ne sont que des oisifs cherchant à profiter un maximum des ressources produites par nos industries locales. Agriculteurs, relevez-vous, le chef d'une famille n'est-il pas celui qui ramène tout les jours de quoi manger ? La France est une grande famille que ses enfants gâtés n'ont aucun droit à contrôler. Je proclame donc haut et fort les candidatures de nos amis George Leroux à Caen, Jack Poirrier à Limoge et Etienne Charue à Clermont-Ferrand pour les postes des prochaines élections et commencer à modeler le système de la façon dont il devrait être modeler."

Extrait du discours de Patrick Mielleux lors de la première grande foire agricultrice au Mans.

« Français! Mon long silence, causé par la fin du régime impérial et la chute de mon père Napoléon III, est maintenant terminé. C'est un lourd chagrin que j'ai éprouvé, mais le fardeau à porter est bien pire encore. Si votre confiance peut m'être accordée comme vous l'avez fait du temps de mon père et de son oncle, j'ai bon espoir de ne décevoir ni la France ni ses habitants.

Écoutez les discours des des Royalistes. Écoutez les discours des Républicains. Ces deux partis sont en perpétuelle guerre depuis la première Révolution et le seront jusqu'à la disparition des l'un d'eux. Peu importe le résultat de la prochaine élection, ils n'accompliront pas les desseins des Français et se querelleront sur des sujets sans queue ni tête. Pour ma part, je veux aller plus loin. Je ne prétend pas connaître la réponse à toutes les questions, mais la mise en marche et l'avancement d'une nation commence dans son union. Oubliez les querelles, oubliez les vieilles luttes, oubliez les rancunes et les préjugés : il est temps pour les Français de s'unir sous une même bannière, qu'ils soient Parisiens, Normands, Bretons, Provençals et même Corses.

Ce que je propose, c'est une Monarchie républicaine, où le dirigeant aura un pouvoir important, mais où il aura l'obligation de consulter le Peuple pour les affaires de la plus haute importance par voie de référendum. Vous me direz, n'est-0ce pas là ce que Napoléon Ier et Napoléon III ont fait? Je vous répondrez que oui, mais que je compte fusionné les qualités de mes deux aïeux pour redonner à la France sa gloire militaire, diplomatique et politique, lui redonner une économie neuve et prospère tout en lui assurant une place de choix dans la communauté scientifique et technologique. Tout ces projets ne pourront voir le jour que si vous, peuple français, acceptez de voir monter sur le trône que vous m'aurez accordé afin que je puisse, en votre nom, instaurer le Troisième Empire français. »

Extrait du discours de Napoléon Eugène Louis Jean Joseph, dit Napoléon IV, lors de sa première apparition officielle sur la scène politique.

Bon pour reprendre en un peu plus RP.


Mes bien cher concitoyens, mes bien cher concitoyennes, aujourd'hui est un grand jour, aujourd'hui est le jour ou le parti fosciste fait entendre sa voix en France.
Nous avons été crée par une suite de politique différente...nous résultons de la révolution républicaines qui mit une monarchie bonapartiste en place...2fois cela c'est produit, 2fois la France a reluit, une troisième fois sera nécessaire, car comme le dicton nous le dit " jamais deux sans trois."

Si aujourd'hui je vous parle à vous, c'est pour vous rappelez que la France doit être grande, unifié et surtout, elle doit être la première puissance militaires mondial.
Le parti propose un juste milieux entre les trois parti dominant, il conviendra donc à tous, nous proposons que la France soit un Empire, la France ne serais ni un monarchie ni une république mais un équilibre juste, diriger par un Bonaparte, tel est notre désirs et tel seront les chose si nous sommes élus.

Vous, enfants de la France, souhaitez vous aussi que cette dernière soit la plus belle? souhaitez vous aussi qu'elle soit la plus forte? souhaiter vous que quand vous dites " Je suis français." les gens vous parles avec un respect immodérés? Et bien c'est cela, oui c'est cela que nous proposons.

Extrait de " Un discours d'un Français aux Français pour les Français."

Vous cher soldat de la France, vous que vos ancêtres ont été donné leurs vie pour la France, vous qui avez vu tomber vos frères durant la batailles, oui vous qui souhaitez que votre travail sois reconnu. Eh bien moi je vous dit qu'une France sans militaire, ce n'est plus la France et c'est vous qui faites la fierté de nos concitoyens.

Vous voulez autant que moi que lorsqu'on évoque l'armée française, un terrible frissons nous parcoure l'échine, un frissons d'horreur pour nos ennemis et un frissons de fierté pour nos allié. Mes chers amis militaires, sachez qu'on ne vous oublie pas, vous qui protéger la France lorsqu'elle en a besoins, vous aussi qui êtes à son service lorsqu'elle vous sollicite, eh bien, sachez messieurs que vous n'êtes pas oublié, et le parti fosciste propose que l'on accorde autant, si pas plus, d'importance à vous que lorsque notre cher Napoléon 1er, paix à son âme, régnait sur la France. Eh bien je vous offre cette opportunité, saisissez la!

Discours de Gerard Thirard: "A l'armée française, cette bande de fier à bras!"

Tour 1:

Carte Influence

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Carte Mairie :

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Carte Régionale:

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Résultat élections:

Rennes: Ailvin Wolback (RB)
Nantes: Jean Cottereau (PCVR)
Bordeaux: Thomas Toussetac (PSF)
Toulouse: Bernard Delterme (PSF)
Marseille: ? (PF)
Lyon: Gerard Thirard (PF)
Besançon: Gustave Courbet (PC)
Dijon: Hugues Tourier (PSF)
Nancy: Charles Gautier (PSF)
Paris: Antoine Fareihn (PJ)
Lille: Maurits von Duynkerke (VV)
Caen: Roland Rainfroy (PO)
Orléans: Charles Pelvault (PO)
Limoge: ? (PM)
Clermont-Ferrand: ? (PM)

- Les partis répandent leurs idées via les journaux, on apprends, selon le journal de PSF, qu'un jeune Lorrain ,qui aurait voulu rejoindre notre patrie, aurait était exécuter par les troupes Allemandes. A noter que le PSF, c'est crée une milice.
-En Bretagne, de nombreuse fêtes bretonnes sont organisé par le leader du RB, Ailvin Wolback;
-A Rouen, Roland Rainfroy organise une marche en l'honneur de Jeanne d'Arc et souligne le courage es vétérans de la guerre franco-prussiennes.
-Le parti Communard fait imprimer un livre, "Mesures pour les Travailleurs", qui se répand dans les usines.
Les grands projets sont :


-journée de travail de 8H
-interdir le travail des enfants de moins de 14 ans et école gratuite laïque et obligatoire jusqu'a cette âge
-collectivisation des moyens de production (car c'est aux travailleurs que doivent revenir les bienfaits de son travail, mise en place de conseil d'ouvriers dans les usines)
-interdire les amendes et retenus sur salaire
-autoriser la création de syndicats (abolir la loi Le Chapelier) >> mettre en avant le refus du gouvernement
-mise en place de conseil de soldat dans l'armée, plus de permissions pour les sans grade, abolition du régiment disciplinaire et des privations
-droit de vote pour les femmes et abaissement de la majorité a 18 ans
-fin de la conscription
-réaffirmer la liberté de la presse et de réunion (trop souvent bafouée),
-suppression du livret ouvrier
-séparation de l'eglise et de l'etat amnistie pour tous les Communards

-Les chefs des partis Indépendantiste Corse et Occitans, serait désormais en couple (o_O) et il aurait pris les caisses des partis. Il serait en train de se la couler douce pendant que les vrais Politiciens travaille !!

Le VV s'interroge sur qui a gagné les élections à Amiens...

De même la SFIT demande le résultat des élections à Reims et au Havre ainsi qu'a Montpellier.

Le PF a un mal fou à lire ce cartes sans légendes...ils sait seulement ou lui se trouve...

Lors d'une entrevue avec un journal indépendant au Parti Social Français; Thomas Toussetac a tenu à éclaircir des points.

[...] Je suis évidemment très satisfait de nos victoires à Bordeaux et à Toulouse; c'est la preuve que certains en France ont fait le choix de l'unité et de la liberté. Maintenant, il faut consolider ces victoire, aller de l'avant, mettre tout en oeuvre pour que ces deux villes puissent se targuer d'être dirigée par des membres d'un parti raisonné, intelligent, à l'écoute du peuple qu'il se fait fort de défendre. La démocratie pour le peuple, par le peuple.

[...] Concernant l'histoire de ce jeune Lorrain, j'en suis fort attristé, et je voudrais aujourd'hui présenter mes condoléances à la famille du défunt. Si ça ne tenait qu'à moi, je demanderai hic et hoc des comptes à l'empereur Guillaume, mais vous le savez bien; je ne suis pas au pouvoir. Je crois donc que c'est à l'actuel président du Conseil de voir ce qui lui semble bon de faire. Et il a une lourde responsabilité dans cette tâche; et, le moment venu; il apparaît évident que si quelque chose de grave devait arriver; le peuple française se devrait de la soutenir.

[...] Vous me demandez ce que je pense des victoires des autres partis. C'est simple, il y a des victoires qui me réjouissent plus que d'autres. Celles du Renouveau Breton, du Vlaams Verbond ou du parti de Monsieur Paoletti me réjouissent, d'autant qu'elles prouvent aux parisianistes jacobinards que les différentes régions de France ne sont pas des enfants qui doivent être à jamais attachés à la France, mais qu'ils sont prêts pour le fédéralisme français.

[...] Enfin, concernant l'avenir du PSF, je pense qu'il va s'inscrire dans un clair objectif de gravir Ad augusta par angustam les échelons politiques. J'espère d'ailleurs être suivis par un certain nombre d'électeurs le jour où cela sera nécessaire. Car je ne voudrais pas que les Français oublient que c'est avant-tout pour eux que je me présente.

Des résultats à la Roche sur Yon sont attendus par le PCRV.

Antoine Fareihn annonce qu'il démissionne de la présidence du parti Jacobin, confié à Maxime Varle, co-fondateur de l'organisation, et se retire de la direction du journal La Tribune d'Antoine (George Millins lui succède), ceci parce qu'il souhaite être le "représentant de tous les parisiens et non d'un parti."

Information paru dans La Tribune d'Antoine

"La mort de ce jeune lorrain, notre concitoyen est plus qu'un deuil pour nous tous, c'est un symbole de la main mise allemande sur notre pays. Nos enfants meurent et le gouvernement opine du chef ! Je dis non mes braves et c'est pour cela que j'ai crée dans notre région, une milice consacrée à notre défense pour que plus aucun accident de ce genre arrive sans que l'on puisse offrir des représailles digne du mort ! [...] Je souhaite également féliciter mon camarade Hugues Tourier qui a remporté les élections à Dijon, bientôt je l'espère nos idées se répandront jusqu'à Paris et peut être que sous cet effet, le gouvernement changera d'avis à propos du cas allemand. Il vaut mieux la guerre qu'une mauvaise paix !"

Allocutions du Colonel Gautier dans un article distribué en place publique.

Arzgluf a écrit:

Celtiktom a écrit:

Amethysta a écrit:

Des résultats à la Roche sur Yon sont attendus par le PCRV.

La Roche-sur-Yon n'était pas prévue.

Sinon, je peux demander les villes suivantes:

Bayonne, Pau, Biarritz, Dax, Mont-de-Marsan, Cahors, Montauban, Auch, Agen, Périgueux, Bergerac, La Rochelle, Poitiers, Angoulême, Albi, Rodez, Foix, Tarbes...

C'est moi qui l'ait induit en erreur, mea culpa la ville en Poitou Charentes c'est Limoges pas la Roche sur Yon

Oui enfin ni la Roche-sur-Yon, ni Limoges ne sont en Poitou-Charentes, donc bon...